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[Abandonné]La faim justifie les moyens.
Helvoran
Messages : 121
Date d'inscription : 25/06/2014
Je suis votre plus sombre espoir
Helvoran
Un brin dérangeant ces animaux que les humains ont pour habitude de domestiquer. Ce spécimen à en plus la fâcheuse manie d’aboyer lorsque l’on s’approche trop de la maison. Si je le souhaitais, je pourrais aisément ne pas tenir en compte. L’égorger, tuer et me nourrir de cette humaine qui a eu la mauvaise idée de construire son habitation près de l’un de mes nombreux repères disséminés aux quatre coins de ce monde. Cependant, cela ne ferait qu’attirer encore plus l’attention des autres humains. Puis ce n’est pas si désagréable que cela d’avoir à disposition une réserve de nourriture qui ne s’aperçoit même pas que je me nourris d’elle.
Cette femme vit seule avec pour toute compagnie son chien dans sa modeste maison de pierre au toit de chaume. Elle ne demande rien à personne et se rend de temps à autre en ville pour y vendre le fruit de son labeur.
Une fermière qui cultive la terre, élève des animaux et vit simplement. Si elle savait qu’à quelques mètres de là. Dissimuler par d’épaisses fougères dans un bosquet se trouve l’un de mes laboratoires souterrains, elle en perdrait probablement la raison.
J’apprécie ce calme et cette femme est en quelques sortes ma protégée. Même si je ne me mêle aucunement de ses affaires. Je me nourris elle ne s’aperçoit de rien et je peux vaquer à mes occupations en toute quiétude et elle aussi. Endormir son chien avant de lui rendre visite pour me sustenter est une formalité des plus banales.
Pour ne pas éveiller ses soupçons, elle aussi je l’endort. Généralement en agrémentant sa nourriture de quelques plantes. Sa vie est simple et réglé comme une horloge. Cela me facilite énormément les choses.
Pourtant il y a quelques temps de cela. Il y a bien une fois où elle n’est pas revenue seule de la ville. Rien de bien contrariant. Une amourette d’un soir ou deux. Ce qui me chagrine le plus c’est lorsqu’ils se sont séparés sur une dispute. Cet humain à jurer qu’il la ferait tuer. Quel imbécile et quel manque de courage. N’aurait-il pas put tout simplement le faire lui-même ?
 Ayant autre chose à faire que de m’occuper de son cas le jour-là, je le laissai repartir. Je repris mes activités et elle de son côté les siennes.
*****
La nuit venais de tombé et comme à mon habitude je me nourrissais. Pourtant quelque chose n’allait pas. Son sang n’avait pas la même saveur. Essuyant le filet de sang qui coulait à la commissure de mes lèvres. J’entrepris comme toujours à maquiller ma morsure tout en me demandant pourquoi quelque chose de désagréable avait perturbé mon repas. Impossible que cela soit une erreur dans le dosage des plantes. Son chien n’a rien différent lui et c’est toujours le même rythme cardiaque que je perçois chez l’animal.
Elle ne peut pas être malade non plus, je l’aurais senti immédiatement et aurait pris mes précautions pour la guérir. Le stress peut-être ? Possible, mais dans ce cas qu’est-ce qui la chagrine à ce point ? Elle n’est pas amoureuse de l’autre débile tout de même.
N’ayant aucune crainte qu’elle ne se réveille, je décide de trouver une piste éventuelle en fouillant dans ses papiers. Il n’y a qu’une seule et unique pièce dans sa maison et je ne mets que quelques minutes pour mettre la main sur le coffre contenant ses notes, courriers et autres documents.
Alors que je m’applique à consulter toute cette paperasse la voilà qui se met à cauchemarder. D’où je suis-je peux sentir les battements de son cœur s’accélérer dans sa poitrine.
Sortant une fiole de mon sac, je passe sous son nez le bec de celle-ci. Les effluves qui s’en dégagent la calme. Ce n’est pas que je suis attaché à cette personne, mais  ici j’ai mes habitudes et perturber mes habitudes… C’est mauvais. Très mauvais.
Je replonge dans ma lecture lorsque je tombe sur une note signé d’un X.
Cette nuit, tu vas mourir.
La voilà l’explication. Ce type ne lançait pas des paroles en l’air. Cela va être très simple. Je vais lui répondre. Je note soigneusement au dos de la feuille une réponse aussi claire et succincte que l’avertissement.
« Ne pas déranger. » Et je signe d’un H.
D’une main je porte la fermière en lieu sûr ainsi que son chien. Aucune chance que personne ne les trouve. Puis je repasse à mon repère pour m’équiper. A mon retour dans la maison je prends une chaise et m’assoit au centre de la pièce en face de la porte sur laquelle j’ai pris le soin de mettre en évidence la feuille indiquant clairement Ne pas déranger.
 Qui va entrer c’est une bonne question. Je me demande toutefois si ce type aura le courage de venir lui-même ou s’il enverra quelqu’un d’autre. Dans tous les cas, on ne vient impunément déranger Helvoran et encore moins essayé d’attenter aux jours de celle qui lui sert de nourriture.
La lumière du feu dans l’âtre fait danser les ombres dans la pièce. Et je me tiens prêt à accueillir comme il se doit celui ou celle dont je peux déjà sentir les battements de son cœur qui s’accélère.
Mer 9 Juil 2014 - 13:41
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Invité
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[j'ai trouver un moment pour écrire ça et venir le poster en vitesse ^^]

Je marchais dans le désert de riscyor. Direction : aucunes. J'étais à la recherche de nouveau contrat. J'avais besoin d'un nouveau style de combat.
Le crépuscule s'installait doucement, embrassant de ses bras de nuits les paysages tout entier de Riscyor, tandis que le soleil allait mourir à l'horizon, reflétant une dernière fois ses rayons d'or sur l'eau croupie d'une rivière. La nuit, occupant désormais tout l'espace qui s'offrait à elle, était le signal pour les simples habitants et villageois, signal pour eux d'achever enfin leur journée de dur labeur, pour profiter d'un repos bien mérité.  J'étais pas loin des Montagnes noire. On m'avait dit qu'ici, vivait les vampires.

Mais je continua de marcher. D'un j'étais pas fatiguée, deux ces terres ne me rassuraient pas. Je me mit à courir mais le problème de galoper la nuit c'est qu'on voyait pas nos pieds. Empotée que je suis,je pris un rocher mal placer qui me fit trébucher et un autre qui m'assomma violemment. Je m’évanouis. Je dormit longtemps et quand je me réveilla, la nuit avait fait place au jour. Sauf que voilà, j'avais perdu le nord. Et pour arranger, le soleil était cacher par d’épais nuages noirs. Je frappa le sol en hurlant de colère avant de me lever et de prendre une direction au hasard. J'arrive dans un village pas très loin des montagnes quand je repéra assez vite un homme au comportement étrange. Certes il était bourré, mais je voyais bien qu'il n'y avait pas que ça. Dans sa façon de faire il y avait un autre sentiments. Colère ? De plus, autour de lui régner un désir. Un désir de mort mais qu'il ne voulais pas faire lui même. Je fronça les sourcils. Avais-je mon contrat ? Si facilement ? Je haussa les épaules. Mon foulard sur le nez je m'approcha de lui. Quand il me vis je pu voir deux ressentit dans ses yeux. La peur et le soulagement. C'est vrai qu'habiller comme ça, je ne passez pas inaperçu mais bon, c'était la nuit, et normalement personne ne traîne dehors. Je lui fit signe de me suivre et il le fit. "Si cet homme était une cible, il aurais était tellement ennuyant de le tuer..." Enfin... Je l’amena dans une ruelle sombre et le regarda.

-Bonsoir. Vous, je vois bien dans votre regard que vous avez besoin des services d'un assassin. Je suis prête à signée un contrat. Mais avant sachez que je ne travaille que sous contrats.

-J'ai en effet besoin de vos services. Puis-je vous demandez votre noms ?

-On m’appelle le caméléon maudit. Alors ?

-Et bien, fessons ce contrat .

Il m'amena dans un autre endroit où il trouva un papier. Tout en écrivant le contrat en question il m'expliqua qu'il voulait la tête d'une jeune fermière qui l'avait pris pour un sa*censuré*. Je haussa les épaules. C'était pas mon histoire. Il me fit un schéma de l’endroit et rajouta qu'il y avait un chien très bruyant quand on s'approchait de chez lui. Il lui me donna le contrat et arriver à la récompance je pris l'homme et le plaqua au mur :

-Vous me prenez pour une putain ? Je ne signe pas de contrat pour être payer en nature ! Je n'accepte que l'argent. Alors soit vous changer ça sois, vous perdez mes services.

-Tr … Très bien... Est... Est ce que ceci vous suffit, t-il en griffonnant un chiffre sur la feuille, je ne peut pas plus …

Je lit le chiffre en question. Il n'était pas forcement élever, ni trop bas mais correct. Je le signa et l'enroula dans un ruban bleu et je le rangea dans ma poche.

-Très bien. Je m'occuperais de cette femme. Mais pour l'instant j'ai besoin de dormir et de manger.

-Venez chez moi, Caméléon Maudit.

-Merci mon cher. Je vous suit.

Je roula des yeux. Cet homme était t-il idiot ? Je pourrais le tuer a n'importe quel moment... Quand on arriva près d'une cabane près de la ville, je retient une grimace. Il vivait ici ? C'était assez sale... Il me servit du pain et de l'eau. Je le remercia et mangea. Je ne dit rien. Repas fini, je m'endormis sur le sol. Quand je me reveilla le lendemain, il n'était pas là. Je me suis levé et j'ai trouver un mot : J'ai un truc a faire je revient.
Pourquoi l'attendre ? Je pris un stylo et écrit en dessous : « je suis partie, merci pour tout CM »

Je suis donc sortie et me dirigea chez la fermière en suivant le plan. Arrivé devant le jardin je fit un analyse rapide des lieux. Je me dirigea doucement vers la porte. Quand je fut au seuil, j’entendis des aboiements. Je me plaqua contre le mur et en pris la couleur. Une femme ouvrit la porte et sortit regarder : -Mais il n'y a rien !

J'en profita pour me glisser dans la maison. Une seule pièce... Je trouva assez vite un coin où je pouvait me cacher. Devais-je la tuer maintenant ? Non.. Pas encore.. Trop simple...
Elle rentra à nouveau et ferma la porte. Et alors qu'elle regardait dans ses papiers, son visage blêmit. Elle recula et bascula. Son fauteuil la rattrapa. Elle se releva chancelante et sortit. Je la regarde. Je devais faire quoi ? Je préfère attendre et la laisser se remettre de ses émotion. Je me leva et regarda le papier.

-Maudit soit cet homme !! Il ne peut pas me laisser faire sans y foutre son nez ?

Je remit le papier a sa place et retourna dans ma cachette. Quand la femme rentra, je me suis dit que c'était le bon moment. Mais à se moment un homme rentra et la mordit au cou. Je ferma les yeux. Un vampire.... Après s'être abreuver il maquilla la blessure puis fit le tours des papier. Puis il se retourna vers elle en sortant un fiole et passa sous le nez. Et il repartit dans les papier. Quand il tomba sur le mot, il n’eut pas de réaction particulière. Il retourna la feuille et écrit quelque chose. Ensuite il pris la femme et le chien et sortit. Je me dirigea doucement vers le mot « ne pas déranger » ? Heu, ouais...

Je les suivis de loin. Arriver près d'un buisson il rentra dans dans une sorte de trappe qui disparu au moment où la porte se ferma. Puis réapparu quand l'homme sortit et disparu à nouveau. Je suivit l'homme qui rentra dans la maison de la femme. Et maintenant, je devais faire quoi ? C'était la première fois qu'on me prenait ma cible sous le nez... Je le regarda un instant et retourna voir l'homme qui avait fait mon contrat. J'ouvris la porte sans prendre la pêne de toquer et le pris par le col :

-Il n'était spécifier nulle part dans le contrat que vous pouviez vous mêler de l'affaire ! Je ne suis vraiment pas pour le fait de prévenir mes victimes surtout quand celle si on un vampire comme garde. Alors je vous jure, si ça se reproduit ; c'est vous que je tue ! C'est clair ?

-Ou...Oui...

Je le poussa au sol et ressortit. Je retourna sur les lieux où la femme était cacher et je chercha la porte sans la trouver. Je jura intérieurement contre moi même car j'avais eu des millier de possibilité de la tuer...


Je me cacha pas loin en prenant la couleur de l'herbe et m'endormis un peu avant de me réveiller et de surveiller les alentours. 
Lun 14 Juil 2014 - 15:24
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Helvoran
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Date d'inscription : 25/06/2014
Je suis votre plus sombre espoir
Helvoran
Outre le fait de m’agacer, celui ou celle qui doit soi-disant venir attenter à la vie de cette femme ne semble pas pressé de le faire. Et quitte à devoir  s’opposer à ce crime autant le faire sur mon terrain.


Cela fait plus de deux mille ans que la nuit est devenue mes journées. N’ayant plus que la lune pour seul astre à contempler. C’est donc à l’extérieur de la maison que je décide d’aller expliquer à cet enquiquineur qu’il ne faut pas déranger la quiétude de cet endroit et encore moins essayer d’attenter à la vie de cette fermière.


J’avais bien d’autres choses à faire que de m’occuper de cette sordide histoire. Ce léger contretemps va être vite régler et tout va redevenir comme avant. Calme et paisible. Exactement ce qu’il me faut pour pouvoir travailler en paix.


De plus, la fermière ne s’apercevras de rien et croira que la lettre de menace n’était qu’une plaisanterie de mauvais goût rien de plus.


Sur ces pensées, je prends même la liberté d’arracher la lettre que j’avais affichée sur la porte, la jette dans le feu. Une fois consumée, j’éteins le feu plongeant la pièce dans la pénombre et referme la porte derrière moi.


La lune n’est pas encore haute dans le ciel et quelques nuages portés par le vent s’en vont affaiblir sa lueur. Plongeant un peu plus ce paysage nocturne si calme un peu plus dans la pénombre.


Cela ne me gêne aucunement. Balayant les alentours du regard, je ne distingue rien d’inhabituel. Je goute même au calme de la nuit avec pour seul compagnie la légère brise qui berce les feuillages et les herbes. Même dans cet endroit reculé du monde il y a toujours quelque chose qui  vient perturber ce calme que j’apprécie. Quelques minutes plus tard, je me dirige vers le bosquet. Un angle de tir parfait pour abattre celui qui osera venir ouvrir cette porte.


C’est une légère brise qui interpelle mon odorat. Ou plus exactement l’odeur qu’elle transporte.


Cela stoppe net ma progression mettant tous mes sens en alerte.


Un battement. Un battement de cœur. Je le perçois. Je m’empare de mon arc et encoche une flèche.


Lentement, je me rapproche. Plus guider par les battements de ce cœur que par ma vue. Malgré cela je remarque des traces de pas ayant écrasés l’herbe par endroits. Impossible que ce soient les miens. Même  en portant la fermière et son chien. Je reste avant tout un elfe Sylvain. Ce ne sont pas mes traces.


Encore quelques pas. Je sens les battement de ce cœur s’accélérer. Je pourrais presque deviner le stress qui gagne l’humain qui se cache quelque part.


Pas de stress. Cela donner une amertume désagréable au goût du sang.


Lentement je bande mon arc vers une cible toujours invisible à mes yeux.


« - Veuillez-vous montrez je vous prie. »


Un bref mouvement n’ayant rien à voir avec la bise qui souffle fait danser l’herbe l’espace d’un instant. Mon regard le remarque, mais mon arc reste tendu en direction de ce cœur qui semble encore plus s’affoler.


Ce n’est pas un animal… C’est un humain. Une humaine serais-je tenter de dire alors que je me remémore les traces laissée dans l’herbe.


« - Montrez-vous. »


Il serait complétement présomptueux de chercher à me prendre de vitesse. Que ce soit pour fuir ou encore plus pour  m’attaquer.


Pauvres humains qui se croient les maîtres de tout. Au point de juger normal de prendre la vie de l’un de leurs semblables.


« -Ne me faites pas perdre patience.  Montrez-vous ou mourez ! »


Je tends un peu plus mon arc et ajuste ma visée sur les battements de cœur. Je déporte cette dernière en fonction du vent. Personne ne pourrais échapper à mon tir. Pas même un elfe.
Jeu 17 Juil 2014 - 18:59
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Invité
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Je ne dormis que d'un oeil et heureusement car pas longtemps après m'être coucher, un sixième sens me dit que quelque chose approchait.

 Pas de bruit. Vraiment rien. Mon coeur s'emballa un peu car je ne connaissait rien de l'endroit à par que ma victime était protéger par un vampire qui avez l'air puissant. C'était peut être rien, juste une petite peur.

Il ni avait rien. Je referma les yeux avant de sursauter en entendant une voix profonde et sûre. 

J'attendit quelque instant en espérant qu'il pense s'être tromper. Je pris quand même très doucement mon arc sans savoir si il était possible ou pas de le tuer. J'opta plus pour une impossibilité mais on ne savait jamais.. 

L'homme était là. Est-ce un homme d’ailleurs ? Je le regarda longuement. Son arc tendu dans ma direction me fit comprendre que le mien ne serais pas utile. Sauf si... Non cette idée était débile. Il n'y croirait pas. 
Je pris donc mon arc quand même et me leva le plus lentement possible pour éviter de "réapparaître trop vite

« - Montrez-vous. »

Je vais me montrez oui... Patiente  encore. pensai-je. 

Et comme à une réponse à ma réflexion silencieuse il dit, plus fort :

« -Ne me faites pas perdre patience.  Montrez-vous ou mourez ! »

Le plus lentement du monde je me leva. Me concentrant sur sa voix je pu rester invisible à ses yeux jusq'au moment où je fut prête. J'étais debout, la flèche de l'autre visant mon cœur excité par l'adrénaline du défi. C'était la première fois que je gardait assez de calme pour faire cela. 

Je souris avant de laisser tomber mon "masque" et lui dévoiler mon identité. A quoi me servirais de le fuir de toute façon ? 

Mon arc à la main, les bras le long du corps je le regardais. La pointe rivée sur moi ne me rassurais gère mais je fis comme si je ne la voyais pas. Autant dire la vérité pure et simple, mentir n'était pas mon genre et de plus je pense qu'il sentirais mon mensonge.

-Bonsoir. Il vous arrive toujours de réveiller des gens avec un arc ou bien c'est mon odeur qui vous revient pas ? Oui j'ai peut être violer votre propriété , pénétré dans une maison qui n'était pas la mienne pour en tuer la propriétaire, et alors ?

Je le regarda, calme et le regard plein de défi et d’ironie.
Ven 12 Sep 2014 - 16:14
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Helvoran
Messages : 121
Date d'inscription : 25/06/2014
Je suis votre plus sombre espoir
Helvoran
Mais elle me nargue ma parole !? Pauvre folle d’humaine que tu es ! Sais-tu au moins à qui tu t’adresses ainsi ?

« - Ton odeur n’est pas le problème. Désormais ton problème et de trouver une bonne raison pour que je t’épargne.»

C’est l’odeur d’une proie qui est assez insouciante pour ne pas savoir à qui elle a affaire que je sens.
Je décoche ma flèche après avoir réajuster ma visée vers son épaule.
Se déplacer aussi vite m’a toujours amusé. Si de mon vivant être un elfe sylvain surclassait déjà les autres races en terme de rapidité. Le fait d’être un vampire décuple encore plus cette vitesse. Je n’ai pas besoin de m’abaisser à utiliser de sordides sorts d’illusion si je veux disparaitre. Tout simplement parce que je sais que je dépasse en vitesse ce que les yeux des autres peuvent voir.
A cet instant je disparais de sa vision qui ne voit plus que la flèche qui file vers elle. Moi, je suis déjà derrière elle à quelques mètres lorsque la pointe lui effleure l’épaule égratignant légèrement sa chair. D’un geste je rattrape le projectile sans que cela ne me demande plus d’effort.

« -Tu peux te rendre invisible c’est très bien. Mais l’odeur de ton sang tu ne peux pas me l’a caché. »

 Sur ses paroles j’approche la pointe de la flèche de mon nez puis à ma bouche avant de la ranger dans mon carquois.

« -La femme que tu veux tuer, tu lui dois la vie car si je ne m’étais pas nourris sur elle tu aurais pris sa place. Va-t’en. Je suis bien plus fort et rapide que toi. Retourne d’où tu viens et laisse la tranquille. »
Ven 19 Sep 2014 - 15:00
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