Prénom : Vaelyana
Race : Elfe sylvain
Âge : 231 tours
Sexe : Féminin
Origine : Grande forêt
Lieu de résidence : Grande forêt
Métier : Aventurière
Position sociale : Pauvre, vivant de ce qu’elle trouve autour d’elle, dans la richesse de la nature
Point de vue religieux : Comme tous les elfes, elle vaut un grand respect pour Elye, la déesse mère, Cerumnos et Naraen, le père des elfes. Ayant aussi un grand respect pour la vie, et donc pour la mort, il lui arrive de rendre hommage aux dieux titulaires de celle-ci.
 
Caractère : La curiosité et la méfiance sont les deux mots d’ordre de Vaelyana. Curieuse de connaitre la vie extérieure de l’endroit où elle a toujours vécu, en dehors des histoires que lui racontaient ses ainés, elle n’hésitera pas à suivre ses idées pour cela. Mais les anciens ont quand même installé une certaine méfiance, limite une peur envers le monde extérieur, surtout au niveau des hommes. C’est pourquoi elle aura bien dur à avoir confiance envers quelqu’un d’une autre race que la sienne.
 
Phobie(s) : Les villes
Santé : De nature forte, ayant l’habitude de se battre, de se mouvoir, courir après de nombreux entrainements, peu sont les gens normaux capables de la dépasser sur le physique.
Main : Ambidextre 
Compétences : Elle s’est entraînée toute sa vie, à être une guerrière pour son peuple, destinée au masque d’acier. Elle maîtrise aussi bien les armes aux corps à corps comme l’épée que l’arc, qu’elle affectionne bien plus.
Sinon ayant vécu toute sa vie dans la forêt, elle sait se débrouiller pour se subvenir à elle-même ou pister un être vivant. Des compétences bien naturelles pour une personne de sa race.
 
Physique : Du haut de ses 1m80, Vaelyana est de nature assez forte pour une femme. Elle a une chevelure noir tombant bien en dessous des épaules et ses yeux sont verts comme le feuillage des ancêtres de la forêt. Elle peut être considéré comme jolie, gracieuse même si elle ne ressort pas que cela parmi les elfes.
Elle est souvent munie d’un long manteau sur les tons verts cachant le peu d’armure qu’elle porte sur elle.
 
Famille et entourage : Ayant quittée son peuple pour ses propres raisons, elle a préféré se défaire des liens avec ses proches, même si elle renoncera jamais réellement à son lien avec sa famille, ses amis. Elle voit cela comme une feuille, un chapitre de son existence et espère en écrire un nouveau, sur de nouvelles bases. Cependant, elle sait qu’un jour arrivera, où elle retournera à son royaume natal, espérant que les siens ne l’est pas oublié, mais ce jour n’arrivant pas avant un moment, elle préfère vivre dans le chapitre présent.
 

Histoire : Vivant dans les tribus en périphérie de la Grande Forêt, dès sa jeunesse, elle était destiné au masque d’acier. L’entrainement faisait autant parti de son quotidien que sa famille où d’autres choses du genre. Cela ne l’a empêché à profiter des plaisirs simples de la vie : un sourire, un bon instant ou encore plein d’autres choses. Elle a même d’ailleurs appris à encore plus en profiter. De nature positif, un simple moment avec son père, Khantoror, lui suffisait. C’est d’ailleurs lui qui lui a appris la majorité de ce qu’elle sait, pour la préparer.

L’âge où elle a dû porter le masque, étant arrivé, elle le porta pendant un long moment, pour une vie humaine mais plus le temps passait, plus elle se demandait l’utilité de celui-ci. Tout ce qu’elle savait des hommes, plus encore, du monde extérieur, venait d’histoire qu’on lui avait compté. Elle ne pouvait se suffire de ça, sa curiosité la guidait à plus. Elle ne pouvait pas comme tant d’autre de se permettre de porter le masque sans comprendre, vouant une certaine haine sans consistance à l’extérieur. C’est pourquoi elle lâcha son poste et rendit le masque à sa tribu. Elle voulait voir le monde, le comprendre pour mieux comprendre ce qu’il l’entourait. Elle savait qu’à la fin, elle reviendrait à ses origines, à son peuple, pour reprendre sa vie, si cela était encore possible. Même loin, la Grande Forêt resterait son foyer, elle ne se voyait pas vivre autre part pour la fin de sa vie mais avant d’y finir ses jours, elle voulait voir le reste du monde.  Mais en même temps que cette idée de retour, dans le but de faciliter le départ, elle préféra partir sans un adieu, un aurevoir même, laissant derrière elle ses proches, et la manière dont elle les voyait. Un peu comme si elle préféra les oublier pour une certaine période. En même temps qu’elle gardait ses origines, elle les effaçait en même temps. Une certaine ironie qui ne l’empêcha de faire ce dont elle avait envie.
C’est pourquoi elle prit ses affaires et décida de partir. Mais pour combien de temps ? Un tour, 10 tours, une vie humaine, un siècle ? Même elle ne le sait pas. Elle prit la direction du royaume de Salicar comme première destination. Qu’allait-elle y rencontrer ? Ce que ces ainés lui racontaient sur le monde, un certain cauchemar où l’homme détruit en quelque sorte tout et la Grande Forêt et les autres royaumes elfes sont des sortes d’ilots à protéger des hommes ou quelque chose de bien différent ? Elle se voyait en quelque sorte comme un enfant qui allait découvrir le monde, mais même si elle avait la curiosité de l’enfant et un peu son innocence, elle pourrait rapidement se retourner au premier problème pour le devenir.