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[Terminé][Ouvert][Quête] Le trésor du grand Nord
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Chapelier
Messages : 134
Date d'inscription : 12/01/2019
Gardien du savoir
Chapelier
Il fallut tout le reste de la journée et un peu de celle du lendemain pour ramener l’entièreté du trésor sur le navire. Dans un premier temps, tout fut ramené sur la plage par une première équipe, tandis que d’autres venaient chercher la majorité des bras sur le navire et deux-trois canots supplémentaires pour réaliser les voyages entre la plage et le navire. Le tout serait entreposé au chaud dans la cale avant de réaliser la distribution loin de ce froid de canard, même si pour les membres de l’équipage, c’était déjà la leur : leur chéri à aimer qu’il perdrait bien vite en dépensant dans les bordels, la boisson et les paris étrangement perdants. Mais tel n’était pas la vie et la foi des pirates : tout dépenser sans regarder au lendemain. Ou plutôt ça l’était pour la majorité, car les officiers eux voyaient plus loin. Ils se voyaient récupérer d’autres navires en mer et possiblement commencer à créer une petite flotte pour viser encore de plus gros butins. N’était-ce pas le plaisir de la vie : viser de plus gros poissons pour vivre de l’adrénaline et de l’excitation ? Une vie vécue à toute vitesse, sans jamais se soucier des soucis futurs autres que l’ennemi devant soi. Mais avant d’en arriver là, il fallait d’abord partir du Nord en vie. La nuit, alors le reste du trésor dormait sur la plage, une partie de l’équipage veilla sur la plage de peur que l’or et l’argent s’envolent, tenue au chaud par des petits feux vu l’absence de bois en ces lieux. L’aventure touchait à sa fin et pourtant la seconde y voyait un goût de trop peu. Serait-ce ainsi que tout se finirait ?
Le lendemain, après quelques heures de travail, l’ensemble des hommes se trouvait sur le pont tandis que les cales du navire étaient bien pleines. Il ne restait plus qu’à fuir ce froid de malheur et à retourner à Puerto Blanco.

- Mes frères, mes sœurs… marqua le capitaine. Le temps est venu pour nous de revenir chez nous, couverts de rubis et d’émeraudes. Nous sommes des hommes riches et nous pouvons nous tenir tranquilles pour un petit moment. Seulement, partons au plus vite pour éviter les ennuis et partageons le butin une fois au chaud. Qu’en dites-vous ?

Et l’équipage répondit par un cri d’affirmation. Chacun regagna son poste et le navire reprit vite la route. Le vent soufflait doucement et la journée était belle, à croire qu’Ariel les récompensait de leur exploit et de leur mission.
Les semaines filèrent et avec elles, la température montait. Ils durent faire une escale en cours de route pour dire de refaire le plein de provisions, mais le reste du temps ils fuirent les routes communément utilisées par le commerce. En ayant pour seule compagnie les créatures de la Putain des profondeurs, ils restaient en sécurité et le trésor avec eux. Ils étaient téméraires, mais ils tenaient à leur grand amour du moment. Et ainsi ils acceptèrent l’ennui que cela signifiait.

Un jour, une fois non loin de Puerto Blanco, ils s’arrêtent pour mener bon la distribution. Tous n’attendaient que ça. Après une longue discussion où chacun put donner son avis quand il le souhaitant. En effet, ils étaient frères et sœurs, et surtout égaux. Les officiers n’avaient que l’autorité, car ils l’avaient reçu des hommes et, car ils restaient respectés. Il fut décidé que chacun des hommes recevrait la même part à l’exception des officiers et de la nouvelle recrue, Lykaois, qui avait résolu l’énigme qui recevrait une part et demie sur le butin. Quant au reste de l’or, il serait remis pour l’entretien du navire qui n’avaient pas vécu un voyage si agréable que les pirates, vu la durée de celui-ci. Il fut aussi décidé qu’une fois à terre, les hommes qui souhaitaient rester sous les ordres du capitaine Riffengard pouvaient le faire et que ceux qui désiraient partir ne seraient point retenus. Ils n’étaient pas comme ses riches officiers des marines marchandes qui ne voyaient que leur profit et leur propre face dans la balance de l’équipage. Et si un jour le capitaine en arrivait là, il n’en voudrait pas à sa seconde qu’elle le tue sans sommation. Une fois l’affaire menée, ils regagnèrent encore une fois le navire pour leur dernière semaine de voyage. Celui-ci touchait à sa fin et partait pour bien finir.
Quelques heures passèrent depuis le dernier départ et tous les hommes entendirent de la vigile :

- Navire en vue capitaine ! Des voiles noires !

Tous attendirent les ordres du capitaine. Il pouvait autant être des ennemis que des amis. Car même s’ils étaient tous deux des pirates, certains navires n’avaient aucune honte à attaquer les leurs pour le profit. Après cela pouvait aussi être des amis de Puerto Blanco et il n’y avait rien à craindre.

- Sortez le pavillon pirate et préparez-vous. Tous à vos postes. Nous n’attaquerons pas tant que je ne vous ai pas donné l’ordre et que surtout ils ne nous auront rien fait. Ce n’est pas le moment d’être belliqueux, cria Riffengard aux siens.

Il ne restait plus qu’à espérer être face à des alliés et non des ennemis. Après à la vue d’un pavillon aussi pirate, on pouvait se dire qu’ils n’attaqueraient pas.
Lun 27 Jan 2020 - 19:23
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Lykaios
Messages : 29
Date d'inscription : 25/12/2018
Tête pensante de la meute
Lykaios
Le partage du trésor fut le moment préféré de Lykaios dans cette quête inoubliable. Elle reçut une part et demie du trésor et eut l'autorisation de garder et partager avec Alkan les livres qu'elle avait également rapporté du navire abandonné. L'équipage n'avait pas vu d'un bon oeil le fait qu'elle voulait les emporter. Pour eux, ce n'était qu'un tas de feuille sans intérêt qui prenait de la place dans le chargement et sur le navire. Mais malgré tout, ils avaient accepté quand elle leur expliqua qu'avec cela, Alkan allait pouvoir renouveler son répertoire de récits à leur raconter le soir. La voleuse du néanmoins faire le tri car une partie de la bibliothèque avait été endommagée par l'eau de mer et les intempéries. Lykaios et Alkan réussirent tout de même à en sauver quelques-uns et ce dernier s'empressa de les étudier pour leur offrir une nouvelle histoire le soir même. Quant à la jeune femme, elle trouva son bonheur dans certains livres à propos de la piraterie, de Nerel et des aventures de son élu divin.
C'est donc avec une grande joie qu'elle reprit sa place dans les hauteurs du navire, aidant le marin à la vigie ainsi que le navigateur à se repérer. Elle fut donc l'une des premières à voir le navire qui arrivait vers eux. Le bâtiment était plus grand et plus imposant que le leur maïs du coup, moins rapide et aisé à manœuvrer. Tout l'équipage se mit au travail en vitesse sous les ordres du capitaine et de la seconde. Lykaios installa le pavillon pirate, vérifia que ses lames étaient prêtes à sortir et prit son poste. Un murmure d'attente impatiente parcouru le navire tandis qu'on cherchait à savoir à qui on avait à faire. Les pirates, dans leur euphorie de leur trouvaille, étaient prêts à en découdre mais d'un autre côté, ils ne voulaient pas risquer de perdre leur si précieux trésor. Lykaios, en tant que voleuse, était partisane de la fuite. Elle avait ce qu'elle voulait et n'avait aucune envie d'avoir à se battre pour le garder. Elle envoie donc une prière à Virel pour qu'elle continue à leur sourire et attendit patiemment la suite des événements.
Jeu 5 Mar 2020 - 12:54
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Urmri Tête de Fer
Messages : 23
Date d'inscription : 15/05/2015
Urmri Tête de Fer
Le bonheur voulut qu’il s’agisse comme eux de pirates, et qui apparemment n’avaient pas l’intention de s’attaquer à des collègues. Il fallait dire que quand ils revinrent sur Puerto Blanco, ils ne la trouvèrent plus vraiment comme avant. Sans mettre fin à la liberté, Valentino Tarenziore avait fait en sorte de décourager certaines actions qui nuiraient aux frères de la côte.
Enfin ça leur avait valu de la chance. Au nombre des rares interdits du nouveau gouverneur figurait le fait de pirater les autres pirates. Du moins de façon trop évidente. Les autres équipages parlaient de cas où ça s’était passé, mais on ne faisait pas attention tant qu’il n’y avait pas de preuves tangibles.
En fait globalement, compris Urmri, l’gouverneur avait fait en sorte que ça se fasse pas tant que ça à la lumière du jour. Ça lui allait bien, lui qui marchait tout le temps dedans ! Sa nouvelle fidèle hache en main, il s’avança jusqu’au bout de la jetée, le soir du débarquement. Il nagea dans le port, après avoir plongé, et alla escalader la statue d’Ariel. C’était dur putain ils l’avaient faite lisse la pierre de cette salope !
Mais il finit par le faire, et s’assit sur sa tête, regardant l’océan. Il se demandait parfois pourquoi il avait toujours refusé de regagner la mine. Et quand il se demandait ça, voir cet océan au soleil couchant lui répondait. Certes la mine, les cités souterraines, c’était bien. Mais quelque part, les étendues infinies de l’eau procuraient un sentiment plus grisant encore que la hache qu’il avait dans le dos. Il se disait que ce sentiment était un sentiment de gratitude. Gratitude envers tout le monde, parce qu’on était bien ici dans le fond. Jamais deux jours ne se ressemblant, le grand air, le vent, le soleil…

Et puis il partit d’un grand éclat de rire. Que lui valait tout cela ! Il avait sa hache maintenant ! Un trésor inégalable pour un nain. Alors il ouvrit sa braguette, pissa dans l’eau depuis le haut de la statue, et regagna la terre, avec la ferme intention de prendre le premier navire pour le continent, direction le royaume des nains ! Il avait hâte de montrer à quelques pisses froids qu’il connaissait ce qu’il avait trouvé dans l’océan.
Mer 11 Mar 2020 - 21:26
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Chapelier
Messages : 134
Date d'inscription : 12/01/2019
Gardien du savoir
Chapelier
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Le Capitaine Adams Riffengard:

La seconde, Ivy:

Le soir avant leur arrivée à Puerto Blanco, à la lumière d’une bougie dans la cabine du capitaine, tandis que celui-ci veillait au bon maintien des instructions pour les derniers instants du voyage, aussi impatient que son équipage de rentrer à bon port, Ivy rédigeait son rapport de mission.

« Tout s’est passé sans accroc. Les mers du nord sont calmes au vu de la circulation actuelle des navires. Même si nous avons esquivé pendant ces deux longs tours les routes trop fréquentées et commerciales, nous pouvons quand même témoigner de ce fait. Aucunement cette portion des océans n’est défendue et il serait possible d’y mener des excursions sans aucune difficulté. Même si les cités orientales et côtières de l’Empire d’Ambre ne présentent pas de riches proies, notre dévolu pourrait se jeter bien plus haut, dans le royaume d’Euplemio. Malheureusement, je n’ai pas eu la chance d’y mener une enquête précise, mais les rumeurs la disent aussi riche, si pas plus, en or que les grands palais des comtes d’Oro. Une véritable bénédiction si on se réfère aux besoins conséquents demandés pour la reconstruction de Puerto Blanco. Il faudrait bien sûr vérifier la véracité de ses dires, mais si on se fie au trésor que nous avons trouvé, même si la majorité est ancienne, il est en grande partie constitué de pièces nordiques. Et je ne crois pas que le pirate qui l’a constitué, la fais grâce au commerce.
Bien sûr, comme spécifié lors de notre accord initial avant notre dernier voyage, le Capitaine Riffengard, ex-membre du Conseil des Pirates et moi-même, Ivy Howe, votre serviteur et fille de Port-Argenterie comme je n’ai aucunement honte de le cacher dans le port des pirates, viendront vous reverser une partie du trésor en échange des quelques informations que vous nous aviez graciées au nom de la construction de Puerto Blanco. Il me tarde de vous revoir.
Que Brecianne vous garde et qu’Ariel vous guide,
Ivy Howe, fille de Port-Argenterie. »

Il ne lui resterait plus qu’à donner son rapport à quelques-unes de ses sœurs qui s’assuraient de le remettre en main propre au gouverneur lui-même. Cela faisait déjà deux tours qu’elle eût quitté la ville et il lui manquait de retrouver sa famille, sa compagnie. Mais elle savait à quoi elle avait signé lorsqu’elle avait accepté ce voyage et encore cette mission de porter l’oreille autour d’elle, de la part d’élu divin. Qu’avait-il bien pu changer depuis les débuts de Puerto Blanco ? Énormément, si on se fiait à la vision que renvoyait Grand Lagoon à l’époque de Franco. Même si elle avait peu connu cette période, ayant promis assez tôt de protéger le souvenir de Port-Argenterie et Brecianne en embrassant les vœux du groupuscule. Tout cela ne la rajeunissait pas du tout. Elle qui avait vu sa patrie mourir dans les flammes lors de sa dizaine de tours, avait retrouvé l’espoir auprès de ses sœurs qui l’avaient accueilli. Ayant erré encore un tour entier, elle avait trouvé monsieur Tarenziore au bout du chemin qui les avait engagés à son compte au nom de la nouvelle civilisation pirate, dans l’espoir que celle-ci ne connaisse plus jamais un drame pareil. Et depuis elle avait appris à devenir une vraie matelot pour ensuite rejoindre l’équipage du capitaine. Et bien vite, grâce à l’expertise que lui avaient partagée tant d’anciens pirates de qualité, elle avait gravi les échelons sans aucun problème, à croire que la mer l’avait bâti pour la forger à la naissance. Ainsi depuis elle servait ces deux entités : le bonheur des hommes qu’elle représentait, et ses sœurs. Une histoire bien difficile si on y regardait de loin, mais au grand jamais elle ne la nierait pour autre chose. Elle en était fière et elle fusillerait tout détracteur à ses causes. Alors que certains pirates voyaient en leur veine couler des litres de rhum, pour elle c’était le sang des victimes de Port-Argenterie qui l’avait marqué au fer rouge dans sa jeunesse. Plus jamais la piraterie ne connaitrait un tel affront. Et Ivy ferait tout pour que jamais cela n’arrive.
Avec le sceau de bague et la cire de sa bougie, elle cacheta son rapport qu’elle rangea en lieux sûr et accessible pour qu’elle puisse le saisir sans difficulté le lendemain… pour leur arrivée à Puerto Blanco. Qu’Ariel les guide dans leurs derniers instants.


Le lendemain, une fois à bon port, le Capitaine chargea quelques-uns des marins, tirés au sort à leur grand dam, à rester sur le navire, le Goéland, pour sa surveillance. Quand il vit leur mine, il les rassura en leur disant que d’autres viendraient les remplacer au plus vite, mais lui et la seconde avaient tant à faire. Ils se dirigeaient tous les deux vers le Saint-Domingue, la plus grande taverne de et l’un des lieux de pouvoir de l’île. L’une pour remettre son rapport et revoir ses sœurs, l’autre pour reprendre sa place qui lui était due. Le Capitaine Riffengard revenait à bon port et il comptait à nouveau rejoindre le Conseil des Pirates auquel ils avaient participé déjà lors des dernières années de Port-Argenterie au côté de nombreux grands pirates à ce jour décédé pour la plupart. Du haut de ses cinquante tours, il demeurait bien plus vieux que la majorité de l’île. Mais celui qui croirait que vieillesse rime avec paresse, serait mort à la première occasion de la main du pirate.
À peine son pavillon fut observé de loin que déjà quelques bruits se faisaient entendre dans la ville. Et une fois aux portes de la taverne, les rumeurs étaient tellement nombreuses qu’une masse avait déjà afflué pour mieux voir la scène. On le disait aussi riche que l’empereur de Ram dans les dires les plus fous et déjà grandement exagéré. Ainsi donc les bruits du trésor avaient déjà atteint les oreilles, mais après tout avec des marins aussi vantards, il fallait s’y attendre.

- Me voici parmi vous mes frères, mes sœurs, devant ce lieu de pouvoir, ce lieu sacré pour la nation de Puerto Blanco pour réclamer ma place. J’ai servi la patrie pirate sous les ordres de Brecianne, l’ancienne élue d’Ariel pour le grand bonheur de Port-Argenterie. Et comme bien d’entre vous, je me suis perdu, j’ai erré. Mais je suis de retour, aussi frais que mes premiers jours en tant que mousse, prêt à tout pour faire revivre le Jolly Roger qui vit dans chacun de nos cœurs. Je reviens, après une grande quête dont les légendes n’auront pas fini de parler. Mais vous le savez déjà, personne ne coupera l’herbe sous le pied au Capitaine Riffengard. Je reviens donc reprendre ma place au Conseil des Pirates !

Et à peine eut-il fini son discours que les cris et les applaudissements retentissaient autour, alors que quelques instants auparavant, le silence régnait dans les environs. Seule la voix de Riffengard portait bien loin et couvrait le bruit des derniers retardataires qui assistaient au retour d’un grand homme chez lui. Riffengard enfin rentrait chez lui, après lui aussi deux tours entiers à voyager en mer à travers l’ensemble de Ryscior, à la recherche du moindre indice sur ce trésor. Et maintenant que son nom n’était à faire, il pouvait reprendre de l’activité. À n’en pas douter, la pression qu’il avait mise au conseil à leur propre porte ne ferait pas douter d’une invitation officielle lui étant adressée au plus tôt. Il ne lui restait plus qu’à attendre, mais il n’en doutait pas. Puis bon, il connaissait assez le vieux roublard de gouverneur. Puerto Blanco était belle et elle lui avait manqué. Il ne restait qu’à y finir sa vie, si Ariel ne le rappelait pas avant à finir ses jours à ses côtés.


Ainsi se termina la première aventure, au côté du capitaine Adams Riffengard et de sa seconde Ivy Howe, tous les deux maitres du Goelland. Les dieux remercient le travail des trois braves compagnons qui ont vaincu les océans pour repartir avec leur butin. Le nain, petit de taille et grande gueule, un oxymore vous me direz, mais il prouve le contraire, Umri Tête de Fer. Qu’Ariel te guide dans ton voyage auprès de ta patrie naine et que Finil te ramène dans les bras de ta chère et tendre capitaine de ton cœur. La voleuse, rusée et intelligente, aux pas de velours et à la puissance de la panthère, Lykaios. Que Nerel te bénisse pour que ta bourse ne soit jamais vide et que Virel puisse t’illuminer la voie au côté de Valentino Tarenziore. L’historien, brave et sage, Alkan Holdus, aux savoirs qui ne sont égalés par Inil Bosson et Antescior lui-même. Que Vamyse te guide vers une renaissance dorée et des chemins floraux et que Mystin ne t’épargne d’aucun des grands mystères que révèle ce monde. À vous trois, le destin vous remercie, et le Gardien de savoir que je suis, referme son chapitre dans l’espoir d’en ouvrir un aussi merveilleux par la suite. Que les dieux vous guident et se montrent cléments envers votre personne.
Jeu 12 Mar 2020 - 18:22
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