Toi, déesse de la nuit Toi, qui naquit du chaos Sur l'âcre enfer où gît Des fosses de carcasses et d'os Fit s'abattre un cœur brillant A ses tortures soi-disant.
De verdad, es mi amor Con mi destino me voy, Volar sin dolor.
Montera, montera ; ange que les ténèbres ont appelé. Choses de la vie ; tu nous feras nommer !
Viens étreindre nos âmes ! Vaillances, vaillent, lumineuses comme Ces pupilles vernies d'or ; dans le noir que l'on nomme ! Venant poudrer de chant d'amour nos avirons ! Tu nous as aimées, tu nous aimes, nous le ferons !
Et que désormais nos doigts soient sertis de cœurs vermillons ! Ballade d'arc-en-ciel aux flots, aux nuages des bancs tourbillons ! Qui nous emportent aux vents de liberté, flottant en courants, De nos caresses volées aux ténèbres ! Lumières d'éclats diamants !
Et tu seras libre, ou ne seras pas.
J'ai vu passer dans mon rêve Tel l'ouragan sur la grève D'une main qui tenait un glaive Et de l'autre un sablier
Nyx, la Nuit née du Chaos Martyre suppliciée aux maux D'un sacrifice les yeux clos D'où je la fis expirer
J'ai vu passer dans mon rêve Tel l'ouragan sur la grève Martyre suppliciée des maux Nyx, la Nuit née du Chaos.
Semons ce qui demeure, ô passants que nous sommes ! Le sort est un abîme, et ses flots sont amers, Au bord du noir destin, frères, semons des hommes, Et des chênes au bord des mers !
Puis ils ont une main invisible qui tue : Au retour, leur regard filtre ce venin noir Qui charge l’œil souffrant de la chienne battue Et vous suez pris dans un atroce entonnoir.
Les Dieux et les Démons et Bhagavat lui-même, Augustes, s'élevaient jusqu'au Néant suprême. Ah ! la terre et la mer et le ciel, purs encor Et jeunes, qu'arrosait une lumière d'or P.V
Loin des senteurs de viande et d'étoffes moisies, Farce prostrée et sombre aux gestes repoussants ; - Et l'oraison fleurit d'expressions choisies, Et les mysticités prennent des tons pressants, A.R
Tout l'or du monde n'a nul valeur au marin Qu'a écumé toutes ondes par delà les mers Humant les premières eaux qui Vénus engendrèrent Puis jetant l'ancre jusqu'en son sein ivoirin
Alors que fond au visage de l'assouvi L’exaltation du chœur l'amenant au ciel Comme goûter aux mille notes et aux clés de miel D'une terre promise vibrant dans son cœur ravi Et tandis que se meurt enfin et titube Dans l'ombre de la vallée de la mort, le damné Que sa vengeance accomplie vient d'amener Danser avec les démons et les succubes
Glisse sur l'anneau arc-en-ciel de Cronos L'enfant volant de Pan couronné d'ivresse Qu'élèvent au-dessus d'eux les nuages en liesse Depuis le seuil d'un monde naissant du cosmos
Voici venu le temps de la transcendance D'où s'éteignent toutes âmes qui derrière l'horizon Ont vu : S'élève là leur dernière solution Non plus en vue d'une fin, mais d'une renaissance.
CONFESSION NUIT
Toi, déesse de la nuit Toi, qui naquit du chaos Sur l'âcre enfer où gît Des fosses de carcasses et d'os Fit s'abattre un cœur brillant A ses tortures soi-disant.
De verdad, es mi amor Con mi destino me voy, Volar sin dolor. Montera, montera ; ange que les ténèbres ont appelé. Choses de la vie ; tu nous feras nommer !
Viens étreindre nos âmes ! Vaillances, vaillent, lumineuses comme Ces pupilles vernies d'or ; dans le noir que l'on nomme ! Venant poudrer de chant d'amour nos avirons ! Tu nous as aimées, tu nous aimes, nous le ferons !
Et que désormais nos doigts soient sertis de cœurs vermillons ! Ballade d'arc-en-ciel aux flots, aux nuages des bancs tourbillons ! Qui nous emportent aux vents de liberté, flottant en courants, De nos caresses volées aux ténèbres ! Lumières d'éclats diamants !
Et tu seras libre, ou ne seras pas
J'ai vu passer dans mon rêve Tel l'ouragan sur la grève D'une main qui tenait un glaive Et de l'autre un sablier
Nyx, la Nuit née du Chaos Martyre suppliciée aux maux D'un sacrifice les yeux clos D'où je la fis expirer J'ai vu passer dans mon rêve Tel l'ouragan sur la grève Martyre suppliciée des maux Nyx, la Nuit née du Chaos.
L'amour n'a plus de goût, non plus que la dispute ; Adieu donc, chants du cuivre et soupirs de la flûte ! Plaisirs, ne tentez plus un cœur sombre et boudeur !
Vu la tête du Pygargue sur la deuxième image, je me dis que ma prochaine série sera des pygargues. Le piaf et le type aussi, tant qu'à faire. Merci aux spectateurs, ce fut pas du joli joli XD
Sam 16 Avr 2016 - 20:43
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PROMETHEUS
Après la victoire des nouveaux dieux dirigés par Zeus sur les Titans, Prométhée leur déroba le feu qu'il offrit aux hommes, et entra de ce fait en conflit avec Zeus. Celui-ci le fit enchaîner sur le mont Caucase pour y avoir chaque jour le foie dévoré par un aigle.
Prométhée fut délivré de son châtiment par Héraclès au cours de ses douze travaux, cependant afin de ne pas déroger au serment de Zeus qui avait juré que le Titan resterait à jamais enchaîné au Caucase, Prométhée dut porter durant toute sa vie une bague faite du métal de ses chaînes et sertie d'une pierre du Caucase.
Bien charmantes ces dernières esquisses ^^ on sent du progrès ! u.u
Mer 18 Mai 2016 - 13:53
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C'est toujours mieux quand il y en a, oui ! Je fais au mieux. Merci pour le com !
Bon cette fois j'essaie de m'y mettre convenablement ! Je parle de ces trois planches tirées du RP "Chasseurs de Chairs" avec Céoda et Everhell que je suis censé avoir terminé depuis un an maintenant
Jeu 19 Mai 2016 - 15:29
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Phadria Red
Une recherche vite fait sur les habitudes vestimentaires de l'aristocratie Impériale, et comme je ne peux pas parler pour tout l'Empire, en la cité Topaze de Palmyre ! Plus précisément, une mode datée d'il y a trente ans environ, qui est morte lorsque la mode goth avec le costume noir plus traditionnel et les anneaux au visage est apparue !
Je trouve ça un brin extravagant et typé renaissance pour l'Empire d'Ambre, mais ma foi... tu fais comme tu l'entends avec tes PNJs
Ven 24 Juin 2016 - 17:39
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Le Maitre de l'Intrigue
Dargor
C'est même plus XIXème que Renaissance non ?
(oui c'est joli, voilà j'ai fait un commentaire constructif )
Ven 24 Juin 2016 - 18:45
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La Loi et l'Ordre
Hënmellon
Les souliers vernis, les hauts de chausse noués au dessus du genoux, les redingotes et cape avec capeline... sans parler des jabots et des nœuds sur le dos du pied... non mon cher Ora, ça ressemble plus à du XVIIIe ^^ (vu à travers les yeux de quelqu'un dotés de fantasmes gothico-émo :') )
Ven 24 Juin 2016 - 22:25
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Phadria Red
LE ROUGE ET LE NOIR
Des recherches principalement sur le perso de F. Guadalmedina.
Sans cesse à mes côtés s’agite le Démon ; Il nage autour de moi comme un air impalpable ; Je l’avale et le sens qui brûle mon poumon Et l’emplit d’un désir éternel et coupable.