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[Ryscior] Dren Hortys [Terminé]
Dren Hortys
Messages : 89
Date d'inscription : 27/05/2014
Age : 37
Localisation : Empire d' Ambre.
Lenneth's slave
Dren Hortys
[Ryscior] Dren Hortys [Terminé] Manga-dark-warrior

[list]
Nom : Hortys
Prénom : Dren
Race : Humain.
Surnom :
Les nains le surnomment: le faux vieux. En raison de la couleur de ses cheveux malgré son jeune âge.

Âge : 28.
Sexe : Masculin.
Origine : Hasbruda.
Lieu de résidence : Nomade.
Métier :  Prêtre de Dwilin. Aventurier autodidacte.
Position sociale : Financièrement aisé. N'est pas noble de naissance.
Point de vue religieux :
ren prie Dwilin aussi souvent que faire ce peut. (Normal pour un prêtre de ce dieu vous me direz.)
Cependant il lui arrive d'adresser des prières aux autres divinité selon les circonstances.
Il prie également Mystin pour le don qu'il a reçu de pouvoir diriger les vents gris.

Caractère :
Dren est méticuleux dans son travail. Jamais il ne prend de décisions hâtives. Si cela doit arriver. Il n'aime pas du tout cela. Encore moins que la situation lui échappe. Il est peu bavard et timide. Ces derniers traits de caractère s'atténuant à mesure qu'il côtoie pendant une période variable les personnes qu'il accompagne.


Phobie(s) : Il a peur de se noyer en mer.
Santé : Dren est en excellente forme physique et mentale.
Main : Ambidextre.
Compétences :

Dren est doué pour l'usage de ses armes. Toutes sans exception. Les armes qu'il forge sont d'une qualité rare. A force de forger et d'observation. Il peut déceler d'un coup d’œil averti, la moindre faille d'une armure.

Il utilise également la magie de l'ombre.
 Dren est un maître dans l’art de la discrétion. Il a également développé une technique lui permettant d’être à deux endroits à la fois.
Pas au sens physique comme l'on pourrait l'imaginer. Disons qu'il est capable de créer l'illusion de sa propre personne. Et de voir, entendre, sentir et parler à travers elle. Il est capable de projeter des illusions de moindre importance lorsqu'il combat. Celles-ci destinées à induire en erreur ses adversaires.
Dren possède une épée dite batarde. Il s’en sert aussi bien pour attaquer que de bouclier contre les projectiles.
Il possède aussi deux faucilles dont le manche est orienté dans le sens inverse des lames. Cela lui assurant le retour de ses armes lorsqu’il les lance en direction de ses adversaires.
En guise d’armes à distance, il utilise des couteaux de lancer extrêmement pointus et affutés aussi bien pour l’attaque que pour faire diversion.
En dehors de cela il est assez débrouillard pour utiliser son environnement et les objets à proximité.


Physique : Dren mesure près d'un mètre 80. A les cheveux gris aux reflets violet.
Il a un corps fin sans pour autant être dépourvu de masse musculaire. Il porte une cape noire frangé à capuche.Une armure solide lui permettant de ne pas perdre en mobilité. Son visage ne laisse passer que très peu d'expression ce qui lui donne un côté inquiétant et mystérieux


Famille et entourage : Aucune famille en vie à sa connaissance. (Mère: Elise Fadelis. Père: Foghart Hort.)

Histoire : Chapitre 1


Dren a vu le jour au royaume d’Hasdruba. Enfin, c’est ce que les gens disent. C’est sur le palier d’un forgeron qu’il fut découvert. Sans enfants, ni femme ce dernier pris cela comme un présent des dieux… Dren devint le seul fils d’un forgeron renommé. Il coula une enfance paisible pour un fils de forgeron. Il grandit au rythme des coups de marteaux dans la chaleur écrasante de la forge de son père. Il passait son temps à admirer les chevaliers qui passaient prendre les commandes sous lesquelles croulait son père. Ce qu’il aimait le plus à cet âge. C’était les grandes fêtes que les nobles donnaient. Les jours-là, son père l’emmenait s’il avait été sage et travailleur. Lorsque les chevaliers ne malmenaient pas trop leurs armes et armures et que son père n’avait pas besoin de lui. Il avait l’autorisation de se promener dans les allées. Au plus près des chevaliers. Admirant leurs passes d’armes des coulisses lors des joutes. Il rêvait devenir lui aussi l’un de ces prestigieux guerriers. Le visage de son père affichant un sourire amusé à chaque fois que Dren lui faisait part de ses projets d’avenir.
Plus les années passaient et plus Dren voyait s’envoler le fait de devenir chevalier. A l’âge de huit ans, il avait réussi à admettre-non sans mal- que le fait qu’il ne soit pas né noble lui fermait définitivement les portes de la chevalerie. Cependant, il en voyait toujours autant passer des chevaliers. Les nombreuses heures passées à la forge de son père lui permirent de connaitre les forces et les faiblesses des armes et des armures.
Puis un jour, il fit la connaissance d’Isabelle. La fille d’un riche chevalier comme rarement il y en avait dans le royaume. Le père d’Isabelle reconnut les talents du père de Dren et en fit son forgeron personnel. Il s’en suivi une période de bonheur pour Dren. La charge de travail avait diminué et leur niveau de vie avait atteint un point qu’aucuns forgerons n’auraient pu imaginer dans le royaume. Le chevalier leur avait laissé vivre dans une pièce à proximité de la forge. Tous les jours Dren pouvait croiser Isabelle. Au départ, ils ne s’adressaient que des regards fuyants. Son père le réprimandant durement s’il venait à surprendre Dren en train de regarder avec insistance la fille du chevalier. Il préféra écouter son père et s’efforça d’oublier Isabelle contre son gré. Son père avait raison après tout. Perdre une place comme celle-là serait synonyme d’années de durs labeurs mise aux latrines.
Ce que n’avait pas prévu le père de Dren. C’était qu’Isabelle trouvait Dren fort charmant. Au départ, elle ne faisait que passer commande de bracelets, anneaux, ou autres colliers destinés à ses amies de la noblesse. Le garçon prenait du plaisir à travailler pour Isabelle. Où les armures demandaient de la solidité plutôt que des fioritures de défilé. Isabelle lui demandait du raffinement dans les pièces qu’elle commandait. Dren pouvait rester trois jours voir une semaine sans aucune inspiration. Il suffisait qu’une légère brise fasse danser les cheveux d’Isabelle lorsqu’elle traversait la cour du château en lui adressant un sourire pour que Dren soit inspiré et travail toute la nuit sans relâche.
Modelant les métaux et parfois même le verre lors de son temps libre, il créait de véritables œuvres. Pourtant il refusait toutes autres commandes que celle d’Isabelle.
Atÿe était à l’ouvrage entre Dren et Isabelle…   (Loading... ^^)

Chapitre 2:


Les années passèrent encore. Hasbruda jouissait d’une paix toute relative. En effet lorsqu’un chevalier d’Hasdruba n’a pas d’ennemi, il s’en fait, se trouve des quêtes et bien d’autres choses. Dren louait Finil pour que lui et le forgeron qui l’avait recueilli soient chargés de l’entretien des armures et arme des écuyers lorsque le seigneur partait en guerre. Cela permettait à Dren de rester près d’Isabelle. Dren grandissait et devenait un pré- adolescent au corps musclé et élancé. Il ignorait les moqueries des écuyers qui faisaient des remarques sur ses cheveux gris aux reflets violets. Les moqueries de ces derniers cessaient lorsqu’à bout de souffle, ils m’étaient un terme à leur entraînement. Dren leur servant d’adversaire, il étouffait ses sourires et  ses remarques. Un fils de forgerons n’avait pas le droit d’insulter un écuyer. Sans compter qu’il se forçait à faire preuve de maladresse lors des combats. Vexer un écuyer n’était pas une bonne chose non plus.
Isabelle le voyait bien qu’il cachait volontairement ses prédispositions au maniement des armes. Et elle se moquait bien de son allure ou de son apparence. Elle ne faisait plus que passer simplement dans la cours du château, mais s’attardait devant  la forge. Faisant semblant d’être piqué par la curiosité de l’art de la forge. Cela rendait heureux Dren de la savoir à ses côtés. Cependant son père ne voyait pas cela d’un très bon œil. Ce dernier n’était pas dupe et voyait bien qu’autre chose que de l’amitié naissait entre les deux jeunes gens.
Au 15ème anniversaire d’Isabelle une grande fête fut organisée. Le château était en effervescence. Tous les gens y compris les laquais y étaient conviés. Isabelle lui avait parlé de paysan fait chevalier. Même si cela restait rarissime, Dren s’accrochait à cet infime espoir pour lui demander sa main un jour où l’autre. En attendant il c’était attelé pendant des mois à travailler une broche dont la complexité du travail n’avait d’égal que la satisfaction que Dren aurait à lui offrir.
Bien entendu le premier jour des festivités fut interdit d’accès aux personnes de basse naissance comme Dren. Mais le deuxième, il put s’approcher d’Isabelle. Il tenait dans sa main cette broche qu’il comptait lui offrir. Avant qu’il n’ait pu ouvrir la bouche tous ses espoir s’effondrèrent lorsqu’elle lui présenta celui qui était devenu son fiancé lors de la cérémonie de la veille. Dren ravala ses sentiments et s’éclipsa sans offrir la broche à Isabelle. Elle semblait heureuse au bras de son futur époux.
Ce fut la dernière image qu’il eut d’Isabelle avant bien des années. En revenant à la forge, il avait pris sa décision de fuir le château pour ne plus jamais y revenir.  Rassemblant ses affaires, il s’arrêta devant le brasier encore ardent pour y jeter la broche lorsque…
« - Excuse-moi jeune homme.
Dren sursauta et découvrit en se retournant une femme au teint d’albâtre et à la beauté presque surnaturelle.
« -Je cherche le garçon qui vit avec le forgerons, il parait qu’il fait des bijoux méritant le détour. 
- C’est moi-même madame. »
Dren déposa la broche dans le creux de la main de la femme. Un sourire s’afficha sur le visage de l’inconnue et l’examina avant de lui demander combien de pièces il en voulait.
« -Elle n’est pas à vendre madame. Je l’avais créé pour une occasion spéciale et… Peste soit d’Atÿe ! Elle n’apporte que des ennuis ! »
Les yeux de Dren s’embuèrent. Elise Fadelis –car tel est le nom de cette femme- Réconforta Dren comme une mère l’aurait fait. Ils discutèrent longtemps jusqu’à l’aube.
« -Tu es noble Dren, mais pas au sens que cette nation l’entend. J’ai connu un jour un grand guerrier qui n’était pas chevalier d’Hasbruda.
Si Elise avait déposé l’enfant devant la forge de cet inconnu. C’était parce que son statut d’élue de Filyon lui demandait trop de temps à son grand regret. Mais tous les métiers n’ont-ils pas leurs artistes ?
Elis laissa s’en aller Dren qui avait laissé au forgeron un message d’adieu.
Dren partit à la recherche de ce guerrier sous le regard bienveillant d’Elise. Avec pour seul signe distinctif pour le rencontrer qu’une peluche en forme de dragon. Celle-là même qu’elle avait emprunté au père du garçon après sa conception…

Chapitre 3:


Ce n’est pas Dren qui trouva le guerrier. Mais le contraire. Lorsque Dren lui demanda de lui enseigner les arts du combat. L’homme ne lui demanda qu’une seule chose en échange. La peluche en forme de dragon.
 Dren accepta et pendant des années le combattant lui appris tout ce qu’il savait sur l’art de tuer. L’enseignement de Foghart ne s’arrêta pas à là. Dren s’avérait avoir des prédispositions pour la magie. Le garçon excellait dans l’art de la discrétion. Aussi se tourna-t-il vers la magie de l’ombre. Foghart eut la permission de quitter l’île dans laquelle il habitait pour accompagner Dren au nord de l’empire d’ambre. C’est dans cette région que Dren trouva son style de combat et d’armes. Lorsqu’il ne s’entrainait pas aux maîtrises des armes, il passait du temps à forger, amélioré et développer les siennes afin qu’elle s’adapte à son style de combat. Chaque entraînement affutait un peu plus les talents de Dren. Foghart mettait un point d’honneur tous les soirs à lui parler des dieux et du monde. Il ne souhaitait pas que son fils devienne un simple tueur.
« - Le plus grand échec pour un guerrier réside dans le fait de devoir tuer pour survivre. »
Foghart ne dévoila pas à Dren qu’il était son père. Sa mère ne lui avait rien dit non plu après tout. L’on parlait de plus en plus du vieux guerrier et des jumeaux qui s’entrainait retiré de la civilisation. Pourtant l’écho de leurs armes se fracassant l’une contre l’autre trahissait leur présence. Foghart s’inquiétait pour Dren. Où les curieux voyaient des jumeaux, il savait qu’il n’y avait qu’une seule et même personne. Le pouvoir de Dren était grand. Il était apparu sans prévenir. Longtemps Foghart lui présenta des armes de toutes sortes. Mais ce fut Dren qui se forgeât les siennes. Bien vite, l’élève dépassa le maître. Dren quitta son père en lui promettant de partir à la recherche de personne pouvant l’aider à contrôler ce pouvoir.
Alors que Dren s’éloignait, Foghart ressemblait ses affaires lui aussi. Il devait retourner auprès des siens dans les îles de Jade. Après avoir remercié Finil de lui avoir accordé la chance d’avoir pu rencontrer Dren il prit une autre route pour rentrer chez lui. En chemin, il croisa un inconnu dénommé Numar.
« - Sais-tu pourquoi je suis là Foghart ? »
Foghart lui remit la peluche qu’il avait demandée à Dren.
«  Ce n’est pas pour moi, car elle serait venue en personne n’est-ce pas ?
Tu as raison » Lui dit Numar en reprenant la peluche.
« - J’étais aussi venu pour un massacre non loin de là. Cependant, il semblerait qu’un ou deux individus l’ai empêché en neutralisant sans les tuer les pillards qui s’y apprêtaient. »
Foghart eut un sourire en précisant à Numar qu’il ne connaissait qu’un seul homme capable de faire cela. Et non pas deux comme le raconte les témoignages.

Chapitre 4:


Sur la route en effet Dren avait eu affaire à des pillards cruels. Il les avait neutralisé en utilisant toutes les techniques que lui avait apprissent Foghart. Il était toutefois urgent qu’il gagne la capitale de l’empire d’ambre. Si neutraliser ses ennemis avait été facile, l’autre Dren avait failli tuer des innocents durant l’affrontement. Foghart lui avait enseigné combien une vie était précieuse et cela même si elle appartenait à un être ayant de mauvaise intention. C’est dans ce village qu’il fit la connaissance d’une fille nommée Stranis. Elle aussi avait ce que les non-initiés appelaient un problème. C’est ensemble qu’ils décidèrent de faire route vers la capitale de l’empire d’ambre. Là-bas, ils furent pris en charge par des magisters. Ils apprirent les dangers que représentaient l’usage de la magie et les conséquences désastreuses qui pouvaient découler d’un usage mal approprié de leurs pouvoirs.
Pendant de longues années Dren s’entraina à maîtriser la magie de l’ombre. Il quitta l’empire d’ambre à l’âge de 22 tours. Il vécut d’heureuses années et parfois lorsque leurs écoles respectives le leur permettaient Dren et Stranis se retrouvaient. Malgré ce que laissait penser les apparences, il n’y avait qu’un fort sentiment d’amitié entre eux. Quand bien même il y aurait eu bien plus que de l’amitié entre les deux jeunes gens leur timidité respective leur interdisait toutes déclarations de sentiments l’un envers l’autre.
Dren reprit la route d’Hasdruba. Il y apprit que le forgeron qui l’avait recueilli était décédé bien des années auparavant. Il y revu aussi Isabelle. Elle c’était mariée un an après son départ. Avait pas moins de quatre enfants dont les trois quart n’avaient aucunes ressemblances avec son mari. Et lorsqu’il la croisa, elle ne le reconnu même pas. Lui lançant un regard hautain comme elle le faisait avec tous les gens que croisait Isabelle.

Chapitre 4' :
Trouve les nains. Voilà les seuls mots que lui avait laissé son père adoptif. C'est ce qu'il fit. Il intégra non sans mal la prestigieuse forge. Sous ses coups de marteaux. Il oubliait tout. Travaillant sans relâche pendant cinq tours. Les nains riaient à le voir s'écrouler sous le poids de la fatigue et du travail. Pourtant il ne lâcha rien. Les maîtres des forges commencèrent à s'interroger. C'était un piètre forgeron. Rien de bien surprenant puisqu'il n'était pas nain de naissance se disaient-ils. Quoiqu'il en soit Il passa au fil des tours les sélections. Il fini par écarter un peu Virel de ses prières pour y inclure Dwilin. D'autres disaient qu'il pouvait le prier jours et nuits cela n'y changerait rien. Il restait avant tout un humain.
Alors qu'il forgeait la pièce maîtresse de sa dévotion à Dwilin. Un nain entra dans les forges. Il se pencha sur son travail et rit. Sans autres explications il quitta l'atelier de Dren un peu déboussolé. Son maître vint alors le trouver.
« -Viens il est temps de montrer ça. »
Dren fini le travail. Puis présenta un collier.
« - C'est tout toi ça » Lui dit le nains en appelant d'autre qui, avec précaution prirent la pièce et l'emmenèrent hors de sa vue.
« -Au balcon » Lui ordonna un nain. Dren s'y rendit sans conviction.
Dren se laissa tomber dos à la montagne avant que le nain qui avait rit de sa pièce le rejoigne.
« -On boit un coup gamin ?
-Cela n'y changera rien je crois. Lui répondit Dren en acceptant la chope que le nain lui tendait.
-Tu sais qui je suis gamin ?
-Vous êtes... Bien sûr que Dren savait qui il était ! C'était Duerin protecteur de fer !
« -Vous êtes le meilleurs des forgerons.
Le nain fit oui silencieusement de la tête. Avant de montrer une certaine impatience. Bon alors tu boit oui ou pas !?
Devant le regard du nain Dren s'exécuta. Lui qui ne buvait pas d'alcool trouva dans ce breuvage délicatement doux et parfumé.
Ce n'est pas de la pisse de troll. Pensa-t-il en prenant une autre gorgée. Du miel ? Cela en avait les effluves. Alors qu'il cherchait encore quelles saveur associer au breuvage il s'arrêta toisant du regard le nain.
« - Mais ça veut dire que...
Cela veut dire que tu n'est pas un nain, mais que Dwilin t'accompagne désormais. C'est toi qui a fait cette breloque ?


Le nain souleva devant les yeux de Dren le collier. Dren acquiesça.
Le pendant était un cristal des plus pur. Sertit par un cercle en forme de queue de dragon. Le corps du dragon se perdait en fin fil d'or pour devenir un marteau. De part et d'autre les ailes était faites de plumes en argents et d'autre en or. Ces dernières étaient d'un aspect reptilien.
-Mes espérances et mes craintes. C'est le nom que j'ai donner à cette pièce.
-J'en ai rien à foutre des sentiments que t'as mis là dedans. Si je te demande de sauter de ce balcon tu le fais ?
-Bien sûr que non !
-Bonne réponse. Finis ta choppe et vas forger ailleurs pour voir si j'y suis.
Dren s’exécuta et fila. Duerin lui demanda qui il prierait le plus. Il lui répondit Dwilin.
-Et si jamais ça merde ?
-Dwilin !
-Et si jamais une fille vient se mêler dans tes affaires ?
Dren s'arrêta un instant avant de répondre.
-Je reviendrais ici pour prier Dwilin à moins que la fille en question ne s'en mêle vraiment.
-J'vous jure. Ces gens qui ne sont pas des nains. Parfois ils m’exaspèrent. Grommela le nain en laissant partir Dren.


Une fois Dren partit. Duerin regarda attentivement le collier avant de se le passer autour du cou.
-Il manque quelques runes ici et là, mais bon j'lui pardonne. Ce n'est pas un nain.

Mer 4 Juin 2014 - 11:19
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Dargor
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Dargor
Bon eh bien c'est une très belle fiche que je vois là !
Y'a juste un truc qui me dérange et qui empêche la validation en fait.

Dren Hortys a écrit:
Il a également développé une technique lui permettant d’être à deux endroits à la fois.

Oui sauf que ... Non en fait.
A moins que tu n'entendes que le "deuxième" Dren serait une illusion projetée par la maitrise de la magie des ombres du premier, ça ne passe pas. Le dédoublement pur et dur, c'est quand même un sort extrêmement compliqué et extrêmement puissant. Tu as sans doute lu le principe "De la redondance vient la puissance" dans la section qui parle de la magie ? Ben là c'est un exemple type : le dédoublement pur n'est accessible qu'à de très rares magiciens d'une puissance extraordinaire, mais qui surtout pour en arriver là ont consacré leur vie entière à la maitrise de la magie des ombres, abandonnant totalement toute idée d'apprentissage d'une autre magie ou des armes. Et quand je dis une vie entière, je parle pas d'une vie d'Homme, c'est déjà trop court. Même avec une vie d'elfe, qui fait pourtant aux alentours d'un millénaire, le mage aura très rarement le temps d'apprendre à maitriser cette technique.
Il va donc de soit que ton personnage étant un humain, jeune qui plus est, et en plus ayant consacré une part non négligeable de sa vie à l'apprentissage d'autre chose que la magie, il est illusoire pour lui d'espérer maitriser un jour un véritable dédoublement. Ou bien alors cela se cantonne à une simple illusion.

Me suis-je bien fait comprendre ? ^^
Lun 9 Juin 2014 - 9:11
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Dargor
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