RuGaard sortit la tête de l’eau et prit une profonde inspiration, une fois que l’air eut de nouveau empli ses poumons, il se laissa légèrement couler pour se retrouver la tête a moitié immergée, la bouche sous l’eau et les narines encore a l’air libre. De loin on aurait pu le confondre avec un crocodile, bien qu’il ait le museau considérablement plus court.
Mais de tels détails n'intéressaient nullement notre Lézard-Pensant, qui se laissa flotter quelques instants à la surface, profitant de la quiétude du lac dans lequel il nageit. Après avoir fait quelques brasses, il émergea de l’eau, avec un demi-sourire de plénitude. Mais a peine les pattes sur terre, que sa jambe faible se rappela a lui, sans douleur, mais avec son insistant et habituel manque de force. RuGaard serra les mâchoires, à flotter sans effort, il en avait oublié celle-ci.
Reprenant ses maigre affaires, RuGaard reprit la route.

Cella fessait maintenant plus de 5 Éclosion que RuGaard était retourné sur les terres du royaume d’Oro, allant de-ci de-là, voyant où il pouvait apporter une aide quelle quelconque, et surtout, observant la culture et la vie quotidienne de ce peuple éloigné.
Ce soir, il approchait d’un village isolé, et le temps s’annoncent pluvieux, il décida de tenté sa chance a y trouvé gite, et peut être couvert.
La nuit tomba brusquement, et remarquent l’enseigne d’une auberge, RuGaard poussa un soupire de soulagement. Il n’aura pas a frappé chez l’habitant, dans ce début d’obscurité, il n’aurait pas l’air très engagent.

Des qu’il ouvrir la porte, ses narines ce fermée par reflexe, il s’était habitué aux senteurs différentes des hommes, mais la forte odeur qui se dégagé de cette auberge, semblait, a ses narine, la réunion des plus désagréable.

Après bref coup d’œil a la pièce principal, plutôt miteuse, même de l’a porte tous semblait dégager une odeur de bois humide et pourrie, plus familière, mais signe d’un certain manque d’entretient.
Pendant qu’il inspecté l’endroit, RuGaard fit plutôt sensation envers les 5 autres client de l’auberge (le 6^éme étant trop occupé a cuvée sa bière, affalé sur la table), il devint soudainement le discret sujet des conversations.

- Tiens sa ne serait pas un d’ses lézard qui vive au sud ?
- Y paraitrai qu’le roi les aurait invités à sa cour.
- Quoi ? tu déconne ?
- Ouaip. Mais je m’demande s’y qui peut leur avoir trouver.

RuGaard ne prêta pas attention a ses babillage, et ce dirigea vers le devant du comptoir, et se posta devant la gérante.
- Un repas et une chambre pour la nuit.
- Si tu peut payer, sa fera 10 Pièces d’Argent.
- Oh. Un prix intéressant.
RuGaard se mis a fouiller et posa 25 Pièces de Bronze.
- Arch. Sa va pas le faire le lézard, ses du bronze, ça. L’argent ...
- L’argent c’est gris et sa brille, le coupa RuGaard. Merci, mais on ma déjà dit. Maintenant, sache femelle, que j’ai déjà passer une nuit dans lieu semblable a celui-ci. Mais vous etre la première a me demander 10 Argent.
La gérante grimaça, et pris les pièces avec humeur, elle qui penser tenir un bon pigeon, raté.
- Et sinon, qu’es que vous mangez ? Buvez ?
- De l’eau, et un morceau de viande me serait agréable.
- Cuite ou crue ?
RuGaard pencha légèrement la tête sur le coté, perplexe, était-elle sérieuse ? Apparemment, oui.
- Cuite, je ne suis pas une bête, dit-il plus sèchement qu’il le voulait.
Interpellé par le ton, l’aubergiste fit un pas en arrière, puis tourna les talons pour lancer la commande dans la cuisine.

RuGaard prit place a une table dans un angle de la pièce principal, avec vus sur la porte, pour scruté les allé venue de l’établissement. Même si il retroussé les narines a chaque effluve, il scruta avec attention et curiosité les allé et venue des autres clients, ainsi que le détail de la pièce et des objets.
Fascinant. Toujours tellement de détail et de variété, a croire que les humains n’arrive jamais a faire quelle que chose de satisfaisant.

Le serveur arriva, et ne manqua pas de regardé avec curiosité le Lézard-Pensant, puis déposa le poulet commandé.
- Kijak, Merci.
RuGaard entama directement son repas, enlevant a coup de griffe et de dent des morceaux de viandes, il n’était pas un animal sauvage, encore ignorai t’il l’usage des couverts.

Pourquoi suis je parti? Je déteste l'aventure et les cités états sont encore bien loin. J'en ai marre. En plus j'ai mal au pied mais le pire c'est même pas ça, c'est la pluie. Je suis trempée et je sais pas où aller. Déjà que ce qui me sert de vêtement n'est du tout en bonne état mais là ça va encore s'empirer. J'en ai marre. Je veux un chez moi, ou moins un endroit pour moi vivre. Espérons que je trouverais ça aux cités états. Prions pour que ce soit possible. De toute façon, la chance est avec moi, sauf pour le temps.


Elle courrait sur la route en espérant trouver un village mais les bois ne me permettait de pas voir grand chose en plus il faisait noir dehors. Elle n'était pas faite pour ça et son corps lui faisait bien comprendre. Elle était essoufflé et elle commençait à avoir une douleur au ventre à force de courir depuis que le pluie avait commencé. Ah ce qui parait, cette douleur s’appelait un point de côté. En tout cas c'est comme ça qu'on disait dans les villes.

Bon je me décide, je cours jusqu'au tournant et c'est bon. Il a moyen que j'y sois en 5 minutes. Ça va encore? 5 minutes, c'est peu, ou pas vraiment mais j'ai pas mieux.


Enfin au tournant, allez je me pose 30 secondes le temps de reprendre mon souffle et j'y vais. Mais attend, c'est bien un village là bas? Je pourrais y être en 10 minutes. Comment ai je fait pour pas le voir avant? Le bois me permet-il de cacher autant un village? Sûrement vu sa taille. Un petit village avec quelques maisons mais un village quand même avec au moins un abri, ou en tout cas, j'espère. Peut être même que dans ce village, on pourrait m'engager car ma bourse commence à se vider. A ce rythme, elle sera vide en une semaine ou bien avant vu le prix de certaines auberges. 



Dans quoi vais je tomber? Un lieu avec même pas de lit où je vais dormir à même le sol. Non j'espère pas. J'en ai plus que marre. Bon au moins, j'aurais pu à voir la pluie. Il faut penser un peu positif. Bon allez, je rentre. 
7 personnes? C'est bien peu pour un lieu comme ça. La première est tout simplement l'aubergiste ou en tout cas le gérant de ce lieu. 
Puis ensuite il a 3 personnes, assis sur une table pas loin du comptoir, à parler d'une voix forte et à boire. Cela doit être des habitués. Ils doivent habiter dans le village. Peut être qu'après m'être un peu posé, j'irais les voir pour savoir si ils ont du boulot pour moi. 
Le cinquième quand à lui est par terre, mort plein avec son ami qui essayait de le réveiller. Il a du abuser de la boisson. C'est traître à ce qui parait ces choses là. Après j'en sais rien, je bois jamais.
Puis la dernière est... Qu'est que c'est? En tout cas, elle est dans le coin à manger quelque chose. Peut être qu'elle ne veut pas de compagnie? Oh pire on verra bien, là je vais juste faire ce que je veux depuis un moment.


Shiumei retira sa capuche de son manteau de voyage qui était en bien mauvaise état et fit un mouvement de la tête pour bien remettre en place ces longs cheveux qui étaient quand même mouillés malgré ses vêtements.
Ensuite elle avança vers le gérant.

- Avez vous des chambres pour cette nuit?

- Bien sur ma petite dame. Vous voulez à manger avec ça? 

- Bien sur.

- Ça fait 10 pièces d'argent.

Elle les sortit de sa bourse et les posa sur le comptoir. 

- Seriez vous rajouter de l'eau et pas la bière avec le repas.

- Bien sur, c'est noté.

Quel lieu merdique, je vais aller me poser sur une table, j'en ai marre d'être debout. 
Je sais, je vais me mettre pas loin de la personne dans le coin, je suis curieux de savoir qu'elle est cette étrange personne. Je sais, c'est mal d'être curieuse mais je le suis. Oh et puis tant pis. Je me mets et je réfléchis après. J'en ai juste marre d'être debout.

RuGaard dégustai son poulet, et petit à petit, les quelleque regards intrigué sur sa personne retournée sur leurs occupations initial.
Une fois qu’il aurait fini de ce sustenté, il pourra allez se couché dans une des chambre a l’étage, et si il n’était pas encore très a l’aise dans les lit humains, au moins pouvait t’il profité du confort de dormir a l’abri des éléments.
Il en était à cette réflexion, lorsqu’une jeune femelle humaine entra dans l’auberge, trempé de la tête au pied.
Comme n’importe quelles autre visiteur de l’auberge, il l’a détailla. Elle était bien jeune, pour voyagé seul.

Mais le plus curieux viens d’elle, après avoir payé le prix demandé par l’aubergiste, elle s’assied sans hésitation a son coté, et le détailla sans gène et ni discrétion.
RuGaard ne releva pas, et continua son repas, jusqu’au moment ou n’en tenant visiblement plus, la jeune femelle pris la parole.
- T’es qui ? Il t’est arrivé quoi à ta peau ?

RuGaard stoppa sont geste cloué par l’aplomb de la jeune, puis qui tourna la tête pour fixé son interlocutrice, qui ne détourna pas le regard un instant. Elle semblé si jeune et naïve qu’il éprouva une sympathie immédiate.
- Je m’appelle RuGaard, et pour ma peau, je suis .. nait comme ça.
- Ah bon, s’est possibles ?
-Oui, je ne suis pas homme, je suis Lézard-pensant, je suis aussi ...
- Et vous este tous vert ? tu viens d’où ? tu faite quoi ?
- Du calme, du calme, jeune curieux, une question à la fois. Non, nous somme pas tous vert, d’autre sont bleu, jaune, rouge ou d’autres, aussi plusieurs couleur. Pour première. Et pour seconde, nous vivons maintenant de l’autre coté du grand lac.
Voyant que Shiumei ouvrais la bouche, sans doute pour faire une remarque ou posé une autre question, RuGaard leva un doigt sentencieux, pour lui intimer le silence. La jeune fille resta un instant figé a gobé les mouche, puis referma la bouche, prenant visiblement sur elle-même de ne pas interrompre un nouvelle fois sont interlocuteur.
Ah, les jeunes, tous pareils, tellement curieux, pensa le Lézard-pensant avec nostalgie.
- S’est très loin, comme tu semble le savoir. J’en viens à troisième. Je voyage pour rencontré les autres races. Car vois tu, nous les Vartrà, ou Lézards-Pensants dans votre langue, nous ne connaissons rien a vos territoires et vos tradition, et j’ai décidé de les découvrir pour en parler au autres. Voilà qui je suis et ce que je fais, jeune femelle.
- Je suis une fille, et pourquoi tu parlé bizarrement ?
- Je parle pas votre langue normalement, je connais pas tous vos mots. Biens, moi te rappelé qu’une de vos tradition et de se présenté d’abord avant de posé autant de question, non ?