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Date d'inscription : 21/05/2015
Mélodie à la gloire de la déesse | Salut à tous, Comme certains ont pu le remarquer, je mets des chansons dans la majorité de mes RP. Or je me suis dit que plutôt de mettre à chaque fois celle que je trouve, je pourrais faire participer tout le monde. Ensuite avec toutes les chansons que vous me donnerez, j'essayerais de les trier par genre (amour,...). Une fois cela fait, les musiques pourront être utilisés par tous dans les RP. C'est pas beau des fois de mettre des chansons dans ces RP? Amour:Rossignolet des bois: Qui chante au verd bocage As-tu ouy la voix D'un garson de village D'un garson de village Qui s'est voulu marier, Mais il n'entend pas l'usage Comme c'est qu'il faut aimer Si j'avais de l'argent Je vous dis, à grand somme, Je m'en irois souvent Avecques ma mignonne Qui est tant belle et bonne Las, je m'en irois jouer Elle m'apprendroit en somme Comme c'est qu'il faut aymer Hélas, dit l'amoureux A sa douce amoureuse Quand n'estions que nous deux Vous n'estiez pas honteuse : Vous faites la facheuse Maintenant devant les gens Mais quand je vous treuve seule Vous n'en faites pas autant Un loyal amoureux Doit avoir bonne audace Se monstrant gratieulx Acquerant bonne grace Sans user de fallace Qui veut les dames hanter Plaisamment faut qu'il s'hazarde A souvent les fréquenter Qui fist ceste chanson ? Fut un gallant de ville Estant a la maison D'une plaisante fille A passetemps habille Ils faisoient à leur plaisir Il y en a plus de cent mille Qui sont pleins d'un tel désir Amour de moy: L’amour de moy s’y est enclose Dedans un joli jardinet Où croît la rose et le muguet Et aussi fait la passerose
Ce jardin est bel et plaisant Il est garni de toutes fleurs On y prend son ébattement Autant la nuit comme le jour
L’amour de moy s’y est enclose Dedans un joli jardinet Où croît la rose et le muguet Et aussi fait la passerose
Hélas ! Il n’est si douce chose Que de ce doux rossignolet Qui chante au soir, au matinet Quand il est las, il se repose
L’amour de moy s’y est enclose Dedans un joli jardinet Où croît la rose et le muguet Et aussi fait la passerose
Je la vis l’autre jour, cueillir La violette en un vert pré La plus belle qu’oncques je vis Et la plus plaisante à mon gré
L’amour de moy s’y est enclose Dedans un joli jardinet Où croît la rose et le muguet Et aussi fait la passerose
Je la regardai une pose Elle était blanche comme lait Et douce comme un agnelet Et vermeillette comme rose
L’amour de moy s’y est enclose Dedans un joli jardinet Où croît la rose et le muguet Et aussi fait la passerose. Piraterie: La seule fille pour nous, c'est la figure de proue: Depuis que l'on s'est embarqués à bord de ce trois mâts carré et vire vire, et vire vire. 2 long mois se sont écoulés filles à matelots manquaient et vire vire, et vire vire. Pour maintenir la discipline point de présence féminine la seule qui peut embarquer se tient là sous le beaupré car: La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, ou celle qu'on a qu'en rêve. La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, qu'on monte par derrière. Depuis que l'on s'est embarqués à bord de ce trois mâts carré et vire vire, et vire vire. 4 mois se sont écoulés, pas une fille à caresser et vire vire, et vire vire. sans escales et sans dames pour les matelots c'est un drame, faut maintenir l'ordre à bord et ne point perdre le nord car La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, ou celle qu'on a qu'en rêve. La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, qu'on monte par derrière. Depuis que l'on s'est embarqués à bord de ce trois mâts carré et vire vire, et vire vire. 6 long mois se sont écoulés, pas une pour nous soulager et vire vire et vire vire. Vous êtes bien trop barbares nous répétait l'homme de barre, la seule qu'il y aura à bord, elle est sous le bout dehors car La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, ou celle qu'on a qu'en rêve. La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, qu'on monte par derrière. Depuis que l'on s'est embarqués à bord de ce trois mâts carré et vire vire, et vire vire. 8 long mois se sont écoulés, la boutique est pleine à craquer et vire vire et vire vire. Pour éviter le malheur point de querelles de coeur, car la seule qui nous mène nous disait le capitaine La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, ou celle qu'on a qu'en rêve. La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, qu'on monte par derrière. Depuis que l'on s'est embarqués à bord de ce trois mâts carré et vire vire, et vire vire. 10 long mois se sont écoulés la boutique va déborder et vire vire et vire vire. pour prévenir des jalousies, n'embarqueront point de filles, la seule que l'on peut saisir se tient là devant la guibre La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, ou celle qu'on a qu'en rêve. La seule fille qu'il y a pour nous c'est la figure de proue, qu'on monte par derrière. Cap'tain' Farlow:Marin de comptoir ! Ecoute cette histoire, C’est l’histoire du Cap’ tain’ Farlow, le plus grand des soiffards. Homme au cœur de pierre, très sévère et vicelard, d’un foutu caractèr’ et avec ça, saoule du matin jusqu’au soir.
As-tu connu l’ Cap’tain’ Farlow qui vidait les barriques et les cassait sur le dos des matelots ? As-tu connu l’ Cap’tain’ Farlow qui buvait tout le vin et n’ laissait rien pour les mat’lots ?
Le Cap’tain’ Farlow naquit sur un bateau Qui traversait les grandes eaux en partance d'Oro Sa mère fille de joie ne buvait jamais d’eau De ses mam’lons au lieu de lait c’était le vin qui coulait à flot.
Avant d’embarquer sur ce maudit rafiot On m’avait dit t’auras du rhum et du vin à gogo Tu s’ras bien nourrit, tu roul’ras les tonneaux, Et quand le travail s’ra fini, là tu pourras compter ton magot.
De la soupe aux choux, une ration de fayots, Un seul repas par jour c’est le régime des matelots. Mais dans notre quart, n’y avait que de l’eau, Ni vin, ni rhum, ni bière, ni tafia pour l’équipage de ce bateau.
C’est pas très humain d’assoiffer ses mat’lots Ca en fait des mutins qui crochent à coups d’cuillère à peau. Mais le plus malin c’était l’ Cap’tain’ Farlow Qui jetait aux requins le premier gars qui s’approchait d’un tonneau.
Mais un jour la mort vint s’inviter à bord Le capitain’ lui dit : « La mort ! Mettons-nous bien d’accord » J’irai avec toi jusqu’au bout de l’enfer Tant qu’il y a du bon vin pour se saouler jusqu’à rouler par terre. Les filles d'Argenterie: Sont les filles d'Argenterie Ont armé un bâtiment Pour aller faire la course Dedans les mers du Levant. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
La grande vergue est en ivoire Les poulies en diamant La grand-voile est en dentelle La misaine en satin blanc. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
Les cordages du navire Sont de fils d'or et d'argent Et la coque est en bois rouge Travaillé fort proprement. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
L'équipage du navire C'est toutes filles de quinze ans Le cap'taine qui les commande C'est le roi des bons enfants. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
Hier faisant sa promenade Dessus les gaillards d'avant Aperçut une brunette Qui pleurait dans les haubans. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
Qu'avez-vous gentille brunette Qu'avez-vous à pleurer tant? Av'- vous perdu père ou mère Ou quelqu'un de vos parents? Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
J'ai cueilli la rose blanche Qui s'en fut la voile au vent Elle est partie vent arrière Reviendra en louvoyant. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent.
Il est parti vent arrière Il reviendra vent devant Il reviendra jeter l'ancre Dans le port des bons enfants. Ah! la feuille s'envole, s'envole Ah! la feuille s'envole au vent. | | | Messages : 518
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Heaven can wait | N'oublions pas la traditionnelle chanson du Forban -dont les derniers vers sont par ailleurs trouvable sur la quatrième de couverture de la série BD Long John Silver- A moi forban que m'importe la gloire Les lois du monde et qu'importe la mort? Sur l'océan j'ai planté ma victoire Et bois mon vin dans une coupe d'or. Vivre d'orgies est ma seule espérance Le seul bonheur que j'aie pu conquérir Si sur les flots j'ai passé mon enfance C'est sur les flots qu'un forban doit mourir.
Vins qui pétillent Femmes gentilles Sous des baisers brûlants d'amour Plaisirs, batailles Viv' la canaille Je bois, je chante Et je tue tour à tour.
Peut-être au mât d'une barque étrangère Mon corps un jour servira d'étendard Et tout mon sang rougira la galère Aujourd'hui fête et demain le bazar. Allons, esclave, allons, debout mon brave Buvons le vin et la vie à grand pot Aujourd'hui fête et puis demain peut-être Ma tête ira s'engloutir dans les flots.
Vins qui pétillent Femmes gentilles Sous des baisers brûlants d'amour Plaisirs, batailles Viv' la canaille Je bois, je chante Et je tue tour à tour.
Peut-être un jour par un coup de Virel Je saisirai l'or d'un beau galion Riche à pouvoir vous acheter le ciel Je m'en irai vers d'autres horizons. Là respecté tout comme un gentil'homme Moi qui ne suis qu'un forban, qu'un bandit Je pourrai comm' le fils du roi Asarith, tout comme, Mourir peut-être dedans un bon lit.
Vins qui pétillent Femmes gentilles Sous des baisers brûlants d'amour Plaisirs, batailles Viv' la canaille Je bois, je chante Et je tue tour à tour. Toujours dans le thème marin, Le Cri, de Louise Ackermann. J'en avais posté un extrait dans le RP [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avec Sacha. Lorsque le passager, sur un vaisseau qui sombre, Entend autour de lui les vagues retentir, Qu’a perte de regard la Passe immense et sombre Se soulève pour l’engloutir, Sans espoir de salut et quand le pont s’entr’ouvre, Parmi les mâts brisés, terrifié, meurtri, Il redresse son front hors du flot qui le couvre, Et pousse au large un dernier cri. Cri vain ! cri déchirant ! L’oiseau qui plane ou passe Au delà du nuage a frissonné d’horreur, Et les vents déchaînés hésitent dans l’espace A l’étouffer sous leur clameur. Comme ce voyageur, en des mers inconnues, J’erre et vais disparaître au sein des flots hurlants ; Le gouffre de Canërgen à mes pieds, sur ma tête les nues S’amoncellent, la foudre aux flancs. Les ondes et les cieux autour de leur victime Luttent d’acharnement, de bruit, d’obscurité ; En proie à ces conflits, mon vaisseau sur l’abîme Court sans boussole et démâté. Mais ce sont d’autres flots, c’est un bien autre orage Qui livre des combats dans les airs ténébreux ; L'enfer d'Ariel est plus profond et surtout le naufrage Plus complet et plus désastreux. Jouet de l’ouragan qui l’emporte et le mène, Encombré de trésors et d’agrès submergés, Ce navire perdu, mais c’est la nef humaine, Et nous sommes les naufragés. L’équipage affolé manœuvre en vain dans l’ombre ; L’Épouvante est à bord, le Désespoir, le Deuil ; Assise au gouvernail, l'ire de Virel sombre Le dirige vers un écueil. Moi, que sans mon aveu l’aveugle Destinée Embarqua sur l’étrange et frêle bâtiment, Je ne veux pas non plus, muette et résignée, Subir mon engloutissement. Puisque, dans la stupeur des détresses suprêmes, Mes pâles compagnons restent silencieux, A ma voix d’enlever ces monceaux d’anathèmes Qui s’amassent contre les cieux. Afin qu’elle éclatât d’un jet plus énergique, J’ai, dans ma résistance à l’assaut des flots noirs, De tous les cœurs en moi, comme en un centre unique, Rassemblé tous les désespoirs. Qu’ils vibrant donc si fort, mes accents intrépides, Que ces mêmes cieux sourds en tressaillent surpris ; Les airs n’ont pas besoin, ni les vagues stupides, Pour frissonner d’avoir compris. Ah ! c’est un cri sacré que tout cri d’agonie ; Il proteste, il accuse au moment d’expirer. Eh bien ! ce cri d’angoisse et d’horreur infinie, Je l’ai jeté ; je puis sombrer ! | | | Messages : 58
Date d'inscription : 24/09/2015
Age : 25
Localisation : Hasdruba
Briseuse de chaînes | Super idée de faire un recueil de chansons Ryscioriennes ! | | | Messages : 1256
Date d'inscription : 25/05/2014
Age : 29
Localisation : N'importe où, mais avec mon ordi.
Le Maitre de l'Intrigue | Bon les gars, je vous arrête je mets tout de suite quelque chose au point. Je suis d'accord pour le chansonnier, mais il y a un truc que je ne veux plus voir, ce sont les chansons retranscrites pratiquement mot pour mot dedans. Pourquoi ? Parce que l'intérêt est inexistant. Donc soit vous adaptez (et là vous adaptez vraiment, vous vous contentez pas de juste changer les noms), soit vous allez dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mettre un lien YouTube. Mais je ne veux plus voir aucune chanson retranscrite pratiquement mot pour mot sans aucune volonté de l'adapter pour de vrai. Je fais mon chiant, mais à partir de maintenant chaque fois que je vois une chanson sans volonté de l'adapter, je supprime le message sans prévenir, parce que ce sont typiquement des messages qui n'ont aucun intérêt et qui font perdre du temps à tout le monde : ceux qui le lisent et ceux qui l'écrivent. A bon entendeur. | | | Messages : 518
Date d'inscription : 24/09/2014
Age : 35
Localisation : ???
Heaven can wait | Les chroniques perdues du Capitaine B. Everhell
Pour une bière
Pour une bière mousseuse, je vous offrirai un conte de gaieté sur la mer Pour un grog savoureux, je danserai en hommage à plus noble des guerres Pour un coup d'hydromel, je composerai sur mon brigantin à huniers
Eh bien ! Je viens de recevoir mon pourboire, donc une autre tournée tavernier ! Le temps est venu une fois de plus de boire notre douleur,
Avec une jeune fille sur mon bras et une bière à la main, qui se soucie de demain ? Eh bien la nuit est jeune, il y a beaucoup de temps pour danser et la bonne humeur. Donc, oubliez le vin de l'Empire, prenez mon rhum et suivez mon chemin !
Avec une jeune fille sur mon bras et une bière à la main, qui se soucie de demain ? Eh bien la nuit est jeune, il y a beaucoup de temps pour danser et la bonne humeur. Donc, oubliez le vin de l'Empire, prenez mon rhum et suivez mon chemin !
Mon p'tit garçon
En Palmyre à la nuit tombée On chante encore sur les violons Au port sur l'accordéon C'est pas la bière qui t'fais pleurer
Et l'accordéon des Impériaux Envoie l'vieil air du matelot Fout des embruns au fond des yeux Et ça t'reprend chaque fois qu'il pleut
Mon p'tit garçon mets dans ta tête Y'a qu'les forbans qui font la fête Et crois-moi depuis l'temps qu'je traîne J'en ai vu pousser des rengaines
De la Mer sans Fin à la baie d'ébène Ça fait un'paye que j'y traîne, Et l'temps qui passe a fait au vieux Un'bordée d'rides autour des yeux.
Allez l'vieux fais nous l'Impérial Qu't'as appris quand tu naviguais Pendant ton escale à Valaam Du temps où t'étais tribordais
Du temps où c'était pas la joie Payé au grain dans les pavois Les mains coupées par l'vent glacé Sans même la force de fredonner
En Palmyre à la nuit tombée On chante encore sur les violons Au port sur l'accordéon C'est pas la bière qui t'fais pleurer
Et l'accordéon des Impériaux Envoie l'vieil air du matelot Fout des embruns au fond des yeux Et ça t'reprend chaque fois qu'il pleut
Et y'a le temps qui mouille au dehors Dans la voilure, y'a l'vent du nord Les yeux d'Ramiennes belles à aimer Et la chanson qui t'fait pleurer
Et même si t'a pas navigué T'as l'droit de boire avec les autres T'es quand même un frère de la côte Et t'as même l'droit d'la gueuler
En Palmyre à la nuit tombée On chante encore sur les violons Au port sur l'accordéon C'est pas la bière qui t'fais pleurer
Et l'accordéon des Impériaux Envoie l'vieil air du matelot Fout des embruns au fond des yeux Et ça t'reprend chaque fois qu'il pleut
Quand on s'ra soûls comm'des bourriques On ira chanter avec les balistes En rêvant des frégates druidiques Des chants des navires esclavagistes
En Palmyre à la nuit tombée On chante encore sur les violons Au port sur l'accordéon C'est pas la bière qui t'fais pleurer
Et l'accordéon des Impériaux Envoie l'vieil air du matelot Fout des embruns au fond des yeux Et ça t'reprend chaque fois qu'il pleut | | | Messages : 53
Date d'inscription : 02/05/2016
Age : 47
Localisation : En route pour la Citadelle de gel
Fils de Kafkon Samuel | Les chroniques perdues du Capitaine B. Everhell Dossiers rapportés par M.V.D.E Le Pygargue Trois matelots d'Argenterie
Trois matelots d'Argenterie Trois matelots d'Argenterie De sur la mer, djemalon lonla lura, De sur la mer se sont embarqués.
Ont bien été trois lunes sur mer Ont bien été trois lunes sur mer Sans jamais terre, djemalon lonla lura, Sans jamais terre y aborder.
Au bout de cinq à six semaines Au bout de cinq à six semaines Le pain le vin, djemalon lonla lura, Le pain le vin vint à manquer.
Fallut tirer la courte paille Fallut tirer la courte paille Pour savoir qui, djemalon lonla lura, Pour savoir qui serait mangé.
La courte paille tomba sur le chef La courte paille tomba sur le chef Ce s’ra donc moi, djemalon lonla lura, Ce s’ra donc moi qui s’rai mangé.
Oh non sinon, mon capitaine Oh non sinon, mon capitaine La mort pour vous, djemalon lonla lura, La mort pour vous j’endurerai.
La mort pour moi si tu l’endures La mort pour moi si tu l’endures Cent écus d’or, djemalon lonla lura, Cent écus d’or je t’y donn’rai.
Ou bien ma fille en mariage Ou bien ma fille en mariage Ou c’beau bateau, djemalon lonla lura, Ou c’beau bateau qui est sous nos pieds.
Il n’était pas à demi-hune Il n’était pas à demi-hune Se mit à rire, djemalon lonla lura, Se mit à rire et à chanter.
Courage mes enfants courage Courage mes enfants courage Je vois la terre, djemalon lonla lura, Je vois la terre de tous côtés.
Je vois les tours de Garay Je vois les tours de Garay Trois charpentiers, djemalon lonla lura, Trois charpentiers y travailler.
Je vois les moutons sur la lande Je vois les moutons sur la lande Trois belles bergères, djemalon lonla lura, Trois belles bergères à les garder
Je crois que j’en reconnais une Je crois que j’en reconnais une C’est ma maîtresse, djemalon lonla lura, C’est ma maîtresse du temps passé.
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